mardi 22 janvier 2008

L'incertitude économique mondiale actuelle: À cause de la souveraineté du Québec???

Des fois , la dérision, l'humour, l'ironie, la preuve par le ridicule font plus d'effet sur la compréhension des situations que tous les autres explications scientifiques.

Depuis quelques semaines, et ça c'est accéléré dans les derniers jours, il semble clair que nous soyons dans une spirale qui nous amènera inéluctablement vers une crise économique mondiale.

De nombreuses sources d'informations viennent nous renseigner ( voir ici, et surtout ici)

Causer par quoi? La souveraineté du Québec, cause d'incertitude économique planétaire, mondiale ou par la cupidité des grandes institutions bancaires américaines et leurs fameux papiers commerciaux hypothécaires, accélérés par une confiance réduite sur la capacité de ces mêmes institutions à obtenir des liquidités???

Or en lisant quelques analyses savantes d'experts, et ce n'est pas la première fois que je le lis...les marchés boursiers, la confiance dans les grandes institutions financières de la planete réagissent à l'émotion, aux supputations, au risque. les actuaires ont pas mal de fun de ce temps... Wowwww quel révélation...
Je le traduis par la phrase suivante...si les courtiers ont le feeling que le vent risque de tourner..et qu'en même ils vont pouvoir faire des commissions sur les ventes , les achats, en fait toutes les transactions possibles. et quand il y a incertitude, ils se font un malin plaisir de maximiser ces situations.. de ventes et d'achats...en accélérant ces crises...Or c,est là que ça devient intéressant.

La souveraineté du Québec n'est pas dans le radar politique...et il y a une crise économique mondiale à l'horizon

D'ailleurs je vous donne en référence, une allocution ici de Jacques Parizeau sur le sujet de la mondialisation et la souveraineté..très instructif.

Tout ça pour dire , que les épouvantails à moineaux fédéralistes du pire cataclysme économique que le monde connaîtrait avec la souveraineté du Québec n'est que bullshit et bonhomme 7 heures, bon pour les lecteurs de Gesca...

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