dimanche 29 avril 2012

Manipulation 101 à la sauce des corrompus du PLQ

 

Voici les 10 stratégies de manipulations de l’opinion publique tel que conjugué à la sauce Charest et du PLQ. Tout ce qu’ils ont fait c’est de transposer les vues par Noam Chomsky! Chomsky c’est juste le penseur critique américain le plus influent des 50 dernières années…


Noam Chomsky, Québec needs you!

 

 

Ce cher PLQ, corrompu jusqu’à la moelle, reprend d’ailleurs en tous points les 10 stratégies de manipulations de masses telles qu'identifiées par Noam Chomsky en 2010.

Watch out les stratégies! On regarde-tu ça ensemble? In your face mon Ti-Jean!


1) Créer une diversion : Faire parler de « violence » plutôt que de la légitimité de la hausse des frais de scolarité et de la corruption au sein du PLQ!


2) Créer un faux problème pour mieux imposer sa solution : Encore ici, le PLQ provoque intentionnellement de la colère et donc potentiellement des situations « violentes », pour discréditer et mieux justifier la mise à l’écart de la CLASSE et faire avaler la hausse des frais de scolarité.


3) Proposer une stratégie de « dilution » ou stratégie de la « petite bouchée » : Le PLQ propose aujourd'hui une hausse sur 7 ans au lieu de 5 ans. Ça ne pourrait pas être plus clair comme démonstration de « dilution ».

4) Utiliser la stratégie du « différé » ou du sacrifice nécessaire :
Le PLQ nous dit que la hausse est une décision difficile et nécessaire prise par un gouvernement responsable (sic).


5)  Infantiliser le public : Le PLQ prend les gens pour des épais et leur parle comme à des enfants, ce que fait toujours Line Beauchamp avec son ton angélique servi par son visage épanoui et calme de maitresse d’école qui donne des punitions quand on ne l’écoute pas.


6) Utiliser l’émotionnel plutôt que le rationnel pour convaincre : La violence, mon Dieu, c’est terrible!, nous dit le PLQ. Ils ont bousculé ma secrétaire en 2010 nous disait la ministre à Tout le monde en parle, il y a déjà plusieurs semaines… Pendant, ce temps on attend toujours de vrais bons arguments pour défendre la hausse, la « juste part » n'aura pas convaincu grand-monde.


7)  Maintenir le public dans l’ignorance : Par exemple,
confondre volontairement « violence » et « désobéissance civile », comme M. Robert Dutil, le ministre de la sécurité publique, ou encore y aller de faux dilemmes comme Line Beauchamp: soit on négocie, soit on perturbe, on ne peut pas faire les deux! Pendant ce temps, au PLQ, on continue de faire oublier nos scandales et la corruption par des écrans de fumée.

8) Encourager le public à se complaire dans la médiocrité :
Répéter sans cesse et en cœur avec le PLQ que la protestation dérange la population et les travailleurs qui veulent rentrer chez eux tranquilles! Il fallait aussi entendre la semaine dernière les gens de Radio X à Québec ridiculiser une prof de philo qui essayait simplement d’ouvrir les yeux à ses étudiants en leur proposant un cours sur la pertinence des idées de Robert Nozick dans le contexte actuel. « On s’en fout de Nozick! »


9) Faire remplacer la révolte par la culpabilité ou l’intériorisation de l’ordre : C’est le discours du ministre Bachand et de ceux qui disent que les étudiants sont des bébés gâtés qui se payent du « gros luxe » : cellulaire, laptop et grosse bière! Vous devriez avoir honte! Dans notre temps le luxe, ça n’existait pas! Serrez-vous la ceinture comme tout le monde (comme s’ils ne le faisaient pas déjà)! Privez-vous, pis arrêtez de brailler pour 1 piastre par jour (pendant 5 ans)!

10) Connaitre les individus mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes
ou Big Brother is watching you : C’est un peu le résultat des 9 stratégies précédentes. À l’aide, entre autres, des sondages, le gouvernement connait très bien la psychologie de sa population, celle-ci devient alors malléable et prévisible. Exemple : les gens sont généralement contre la violence. Si je provoque une colère chez les jeunes, se dit le PLQ, ceux-ci lanceront probablement des roches ou quelque chose du genre et si je parle ensuite de violence au sein du mouvement étudiant, je mettrai la population de mon bord. Bingo!


Pour toutes ces raisons : Québécois, Québécoises ne nous laissons pas manipuler par Charest et sa gang de  corrompu….On veut des élections immédiatement…et Crissé dehors ses charognards du PLQ

Mots clés Technorati : ,,,

No de billet: 08542-21-40-92-1

mardi 24 avril 2012

“Entre le Québec et le Canada, il y a comme un contrat d’indifférence mutuelle” On appelle ca le pré-divorce

Je reproduis un papi-el publié sur Canoe.ca

Michael Ignatieff

Le Québec deviendra un pays «à terme»

Agence QMI
23/04/2012 21h45

 

Michael Ignatieff - Le Québec deviendra un pays «à terme»

Michael Ignatieff  © Chris Roussakis / Agence QMI

MONTRÉAL – La logique veut que le Québec devienne «à terme» un pays indépendant, a déclaré Michael Ignatieff, ancien chef du Parti libéral du Canada, lors d'une entrevue diffusée lundi par la BBC.

M. Ignatieff, qui était questionné au sujet des répercussions internationales du référendum écossais prévu en 2014, a expliqué que si l'Écosse choisissait l'indépendance, cela raviverait non seulement la fibre souverainiste des Québécois, mais également celle des Catalans et des Basques en Espagne, comme celle des Wallons et des Flamands en Belgique.

«Le Canada retiendra son souffle en attendant les résultats du référendum écossais», a-t-il dit.

Selon M. Ignatieff, des «changements importants» sont survenus après les référendums sur l'indépendance qu'a tenus le Québec en 1980 et en 1995.

Il estime que même si la Belle Province n'a pas mené à bien sa quête, ces votes ont permis aux souverainistes de s'arroger «radicalement» plus de pouvoirs.

«Le Québec est roi et maitre chez lui, a-t-il affirmé. Ils ont leurs propres politiques en matière d'immigration, en matière de développement des ressources naturelles, […] ils ont leurs propres systèmes d'éducation et de santé. Le degré de collaboration avec le Canada est moindre. Là où l'union tient toujours, c'est avec la politique monétaire et fiscale.»

«Nous avons maintenu le cap [au Canada] essentiellement en donnant plus d'autonomie au Québec, a-t-il ajouté. Le problème, c'est que nous n'avons plus rien à nous dire l'un à l'autre, il y a une sorte de contrat d'indifférence mutuelle. […] Maintenant, en réalité, nous sommes presque deux pays distincts, et ce, même si le Québec n'est pas indépendant.»

M. Ignatieff a aussi qualifié le référendum de 1995 «d'expérience de mort imminente» pour le Canada.

«Nous avons survécu au référendum, mais cela nous a fait beaucoup de tort», a-t-il affirmé.

 

Mots clés Technorati : ,,,

No de billet: 39442-21-40-42-1

lundi 23 avril 2012

Ignatieff: La Souveraineté du Québec est une suite logique des choses

Je reproduis un pai-el paru sur le site de Cyberpresse

Publié le 23 avril 2012 à 19h45 | Mis à jour à 19h45

Ignatieff met en garde contre une cassure nationale

  • Michael Ignatieff se dit attristé de constater à quel... (Photo: PC)

Michael Ignatieff se dit attristé de constater à quel point le Canada et le Québec se sont isolés l'un de l'autre et n'ont plus rien à se dire.

PHOTO: PC

La Presse Canadienne
Londres

Ce n'est pas tout à fait un «Vive le Québec libre», mais la déclaration faite lundi par Michael Ignatieff n'en est pas moins étonnante de la part d'un homme qui voulait diriger le Canada il y a encore moins d'un an.

Après avoir demandé aux Canadiens de le porter au pouvoir à Ottawa aux dernières élections fédérales, M. Ignatieff laisse entendre que le pays se dirige tout droit vers une rupture.

L'ancien chef du Parti libéral et universitaire a tenu des propos surprenants sur la situation de l'unité canadienne, en entrevue lundi avec la BBC.

Il a prévenu les auditeurs que le visage du Royaume-Uni serait inévitablement changé par le référendum à venir en Écosse, et ce, peu importe les résultats du vote.

M. Ignatieff a illustré ses propos en citant l'exemple du Québec et de son mouvement souverainiste, affirmant que le Canada avait cédé des pouvoirs à la province pour satisfaire sa soif d'une plus grande autonomie. Il a toutefois laissé entendre qu'une telle situation était seulement temporaire.

L'ancien politicien a poursuivi en se disant attristé de constater à quel point le Canada et le Québec se sont isolés l'un de l'autre et n'ont plus rien à se dire. Selon lui, l'optimisme de la dernière décennie a cédé le pas au désillusionnement et menant pratiquement à la création de deux pays distincts.

M. Ignatieff a qualifié la situation actuelle au Canada de transitoire, tel un arrêt temporaire avant la venue de l'indépendance, ajoutant par la suite que la logique de cette tendance était la véritable indépendance.

«Je pense qu'éventuellement, c'est vers là que ça se dirige», a-t-il répondu lorsque l'animateur écossais lui a demandé s'il évoquait l'indépendance à la fois pour le Québec et l'Écosse.

 

No de billet: 96442-21-40-32-1

mercredi 18 avril 2012

Opération Gravier: Une pelletée d’arrestation dans un stade Olympique de corrompu

 

Scoop et Pistes de recherches….

Ca fait un bout que je me suis pas commis dans un de mes propres textes.

Mais hier l’opération Gravier m’inspire ce qui suit.

Je ne veux pas aller dans les détails…il y en a ici, , encore ici et encore là.

Mais ce que l’on peut dire sans l’ombre d’un doute c’est qu’hier, il y a eu qu’une pelletée d’arrestation toutefois, il y encore un stade olympique plein de corrompu à l’être.

On a assisté hier a une petite rafle mais dites vous bien que ces gens là ne sont que la pointe de l’iceberg. Il y a plein de gens qui gravitent autour d’eux…Ils sont tout aussi coupable de corruption, de collusion, de fraude, et de toute sorte de malversation.

Si j’étais député, attaché politique ou recherchiste…je chercherais dans les relations des gens qui ont été arrêté hier…y a des langues qui se déliraient. Avocats, comptables, professionnels de tout acabit sont dans l’assiette au beurre.

Un autre scoop: Chercher à la ville de Montréal et dans quelques énormes sociétés reliés à la ville et au Ministère des Transports du Québec, je sais qu’il y a là une firme d’avocats qui obtient tous les contrats de représentations en matière de relation de travail…on parle de millions de $$$$$. Je trouve bizarre qu'e cette firme les obtiennent tous.

Si Accurso tombe, si Georges Boudreault (qui a 77 ans) tombe…soyez bien sur qu’ils ne voudront pas tomber seul…

Scandales riment avec Libéral, Charest rime avec Desmarais, Corruption rime avec collusion dans construction. Pas de doute, on veut des élections immédiatement au Québec

je l’espère ardemment

No de billet: 56342-21-40-81-1

mardi 17 avril 2012

Avec les fédéralistes, le fruit constitutionnel ne sera jamais mûr

Je reproduis un excellent texte paru dans Le Devoir

 

Rapatriement de la Constitution, 30 ans après - L'hiver de force constitutionnel a assez duré

Pauline Marois - Chef du Parti québécois 17 avril 2012 Canada

Pendant que les fédéralistes offriront encore d’autres illusoires promesses de réformes, nous offrirons aux Québécois de clore le débat une fois pour toutes et de sortir de cet hiver de force en redonnant au Québec tous les pouvoirs. Nous proposerons aux Québécois de choisir entre le Canada et le pays du Québec, écrit Pauline Marois.<br /><br />

Photo : Jacques Grenier - Le Devoir

Pendant que les fédéralistes offriront encore d’autres illusoires promesses de réformes, nous offrirons aux Québécois de clore le débat une fois pour toutes et de sortir de cet hiver de force en redonnant au Québec tous les pouvoirs. Nous proposerons aux Québécois de choisir entre le Canada et le pays du Québec, écrit Pauline Marois.

Il y a 30 ans aujourd'hui, le Canada adoptait officiellement sa Constitution contre la volonté du Québec. Ce geste très grave a plongé le Québec dans ce que Réjean Ducharme me permettra d'appeler un hiver de force constitutionnel. En plus de l'affront fait à tout un peuple, ce coup d'État qui limite les capacités du Québec a des conséquences négatives très concrètes.
Pourtant, les fédéralistes québécois semblent avoir renoncé à corriger cette anomalie, trahissant leur propre idéal et, du coup, plus de 400 ans d'histoire de la nation québécoise.
En 1963, en pleine Révolution tranquille, lors de son investiture à titre de candidat du Parti libéral du Canada, Jean Chrétien s'engageait solennellement à œuvrer pour changer la Constitution, pas entre dix provinces, mais entre deux peuples. Dix-sept ans plus tard, Pierre Elliott Trudeau promettait solennellement, lui aussi, devant 10 000 témoins, de renouveler le fédéralisme: «Si la réponse à la question référendaire est non, nous avons tous dit que ce non sera interprété comme un mandat pour changer la Constitution, pour renouveler le fédéralisme. [...] Un non, ça veut dire du changement. Nous mettons notre tête en jeu [...]. Nous mettons nos sièges en jeu pour avoir du changement.»
Et pourtant, moins de deux ans après cette promesse solennelle, la Loi constitutionnelle de 1982 entrait en vigueur à l'encontre de la volonté de l'Assemblée nationale du Québec. Le Canada nous a imposé une Constitution qui a eu pour effet d'enlever au peuple québécois des pouvoirs essentiels en matière de langue et d'éducation, de s'attaquer de plein fouet à la loi 101 et de lui imposer le multiculturalisme à la canadienne. Une réforme aux antipodes des revendications traditionnelles du Québec et de la promesse qu'on lui avait faite. Une trahison, en somme.
Démocratie verrouillée
Les tentatives d'en arriver à un accord honorable permettant au Québec d'effacer les cicatrices de 1982 se sont soldées par des échecs. Le naufrage de l'accord du lac Meech, avec ses cinq petites conditions minimales, ou encore celui de l'accord de Charlottetown, rejeté à la fois au Québec et dans le Canada pour des motifs diamétralement opposés, ne sont maintenant que des souvenirs lointains, vieux d'une vingtaine d'années.
On aurait pu croire que le résultat serré du référendum de 1995 ouvrirait les yeux du Canada et placerait les fédéralistes québécois en position de force pour obtenir des conditions satisfaisantes. Eh bien non. L'État canadien a plutôt cherché à verrouiller la démocratie québécoise avec la loi C-20 et à endoctriner les Québécois avec un déferlement de propagandes mises au jour par le scandale des commandites.
Depuis, les fédéralistes québécois ont baissé pavillon. Certains, comme Benoit Pelletier, espèrent sincèrement qu'un miracle surgira et les autres, cyniques comme Jean Charest, misent sur la lassitude populaire et se contentent de réformettes administratives, de rhétoriques préélectorales ou de motions symboliques sans réelle portée.
Depuis l'élection majoritaire du gouvernement Harper, le Québec n'a plus aucun rapport de force et subit, impuissant, des décisions qui vont à l'encontre de ses intérêts fondamentaux. Nous en sommes réduits à placer notre sort entre les mains de juges nommés par l'État canadien.
«Le fruit n'est pas mûr»
Avec Trudeau, le Québec sera passé de peuple fondateur du Canada à province comme les autres, puis de deuxième classe, l'adhésion du Québec à la Constitution canadienne n'étant même plus considérée comme nécessaire ni même comme une anomalie par les Canadiens. L'Ontario exclu de la Constitution, c'est inimaginable. Dans le cas du Québec, le Canada s'en fout. Et si certains s'imaginent que le NPD y changera quelque chose, qu'ils demandent à Thomas Mulcair s'il a l'intention d'inscrire l'existence de la nation québécoise dans la Constitution canadienne.
C'est le drame des fédéralistes québécois. Plutôt que de dire la vérité, ils proposent des moratoires de dix ans ou évitent soigneusement le sujet. Ils répètent sans relâche que le débat constitutionnel est dépassé, comme si les règles constitutionnelles n'étaient pas au coeur du fonctionnement quotidien de notre société.
Cinquante ans plus tard, que reste-t-il des deux peuples fondateurs, du Maîtres chez nous de Jean Lesage et de l'Égalité ou indépendance de Daniel Johnson? Que reste-t-il de fierté chez les fédéralistes québécois? Jean Charest et son Parti libéral ne réclament plus rien, répétant comme un mantra que «le fruit n'est pas mûr». Le fruit a depuis longtemps pourri dans l'arbre. Et le Parti libéral est passé de la Révolution tranquille à la trahison tranquille de nos aspirations nationales.
Vision d'avenir
À la veille des prochaines élections, les partis fédéralistes ne proposent absolument rien pour sortir le Québec de l'impasse. François Legault se contente d'un moratoire de dix ans, abandonnant d'avance tout rapport de force devant Ottawa. Jean Charest va ressortir sa vieille cassette accusant le Parti québécois de vouloir tenir un référendum sur la souveraineté du Québec, croyant nous mettre sur la défensive et réussir ainsi à esquiver un débat fondamental pour l'avenir du Québec. Le chef libéral se trompe.
Nous sommes aujourd'hui fermement convaincus que le plus grand risque pour le Québec, ce n'est plus la souveraineté, mais bien de demeurer au sein de ce Canada qui ignore de plus en plus notre histoire et notre existence comme peuple. Nous sommes fiers de proposer une vision d'avenir aux Québécois. Oui, nous voulons faire du Québec un pays. Pendant que les fédéralistes offriront encore d'autres illusoires promesses de réformes, nous offrirons aux Québécois de clore le débat une fois pour toutes et de sortir de cet hiver de force en redonnant au Québec tous les pouvoirs. Nous proposerons aux Québécois de choisir entre le Canada et le pays du Québec.
***
Pauline Marois - Chef du Parti québécois


Haut de la page

Cet article vous intéresse?

Imprimer

Envoyer

Commenter

Voter

Vos réactions

Triez : afficher les commentaires  Du plus ancien au plus récent Du plus récent au plus ancien Du plus aimé au moins aimé Du moins aimé au plus aimé Chargement ...

  • Caroline Moreno - Inscrit
    17 avril 2012 05 h 52

    Indépendance sans référendum

    Madame, déclarez l'indépendance et dotez le Québec d'une Constitution.

  • Pierre Schneider - Abonné
    17 avril 2012 09 h 02

    Tout à fait d'accord. Le piège référendaire est une stratégie de défaite imposée au PQ par l'agent fédéral Claude Morin. Que Mme Marois ne s'y laisse pas prendre et tous les indépendantistes la soutiendront si elle forme une coalition afin de réaliser l'indépendance.

  •  
  • France Marcotte - Abonnée
    17 avril 2012 08 h 38

    Mimétisme ou vision?

    "Plutôt que de dire la vérité, ils (les fédéralistes québécois) proposent des moratoires de dix ans ou évitent soigneusement le sujet. Ils répètent sans relâche que le débat constitutionnel est dépassé, comme si les règles constitutionnelles n'étaient pas au coeur du fonctionnement quotidien de notre société."
    À courte vue, le quotidien, c'est forcément métro-boulot-dodo pour plusieurs. C'est la philosophie de l'âne, le museau dans son auge. Faut bien gagner sa croûte.
    Que des politiciens s'y limitent, nous imitent, est épouvantable, eux qui sont sensés regarder au loin pour nous pendant qu'on a le nez dans l'auge, quotidien oblige.
    Ce texte de madame Marois apporte une bouffée du large, de ce qu'on se dit qu'on voit de la cabine du capitaine pour aller quelque part, pendant qu'on trime dans la cale du bateau pour qu'il avance.
    Mais bien peu s'y intéresse on dirait si c'est elle qui parle..

  •  
  • Guillaume L'altermontréaliste - Inscrit
    17 avril 2012 08 h 39

    assujettis à un contrat que l'on a pas signé

    Mme Marois, où est-t-il indiqué en droit, selon notre code civil ou même le commonlaw, que nous pouvons être assujettis à un contrat que l'on a pas signé.
    Guillaume Blouin-Beaudoin

  •  
  • romane - Inscrit
    17 avril 2012 08 h 45

    Clin d'oeil pour clin d'oeil

    ¨Il faut dire la vérité aux Québecois. On ne peut plus gérér le Québec à la hauteur des attentes des Québecois avec seulement 40% de nos revenus. Il faut regarder 100% de nos revenus et ça sa s'appèle la souveraineté du Québec.¨ François Legault 09/30/03http://tvanouvelles.ca/video/587477374001

  •  
  • AlexB - Inscrit
    17 avril 2012 09 h 04

    En sortir comme nous y sommes entrés

    Le Québec est entré dans le Canada par un vote à l'Assemblée législative, sans référendum. Il pourrait légitimement en sortir de la même façon.
    Dès son élection comme gouvernement, le Parti Québécois n'a qu'à demander au gouvernement fédéral de faire sa meilleure offre au Québec afin qu'il signe la Constitution canadienne. Il est presque assuré que cette offre sera insuffisante, mais les souverainistes pourront dire qu'ils ont pris l'initiative en matière constitutionnelle. Le gouvernement du Québec n'aura ensuite qu'à tenir un vote sur l'indépendance à l'Assemblée nationale.

  • Mots clés Technorati : ,,,

No de billet: 05342-21-40-71-1

dimanche 15 avril 2012

Le PLQ les LNH-pro de la magouille–Le PQ des pee-wee

Je reproduis un excellent papi-el ainsi que les commentaires paru ds l’édition électronique du Devoir hier

 

Une double comptabilité pour cacher des dons politiques

Un ex-employé d'une grande firme de génie-conseil dévoile la ruse

Kathleen Lévesque 14 avril 2012 Québec

Tenir une comptabilité parallèle aurait permis de contourner les règles de financement des partis politiques sans laisser de traces.

Photo : Agence Reuters

Tenir une comptabilité parallèle aurait permis de contourner les règles de financement des partis politiques sans laisser de traces.

Une grande firme de génie-conseil camoufle ses dons aux partis politiques grâce à une double comptabilité, a soutenu au Devoir un ex-employé, sous le couvert de l'anonymat.
Pendant de nombreuses années, cette personne a été à même de constater que la firme devait gérer les contributions qu'elle faisait principalement au Parti libéral, mais aussi au Parti québécois par l'intermédiaire de ses employés, en tenant une comptabilité parallèle. Cette façon de faire aurait permis de contourner les règles de financement des partis politiques sans laisser de traces.
«Moi comme les autres, on servait de prête-nom, mais on y trouvait notre compte parce qu'on avait un reçu déductible d'impôt. Et de toute façon, on n'avait pas vraiment le choix; c'était intégré aux conditions de travail des gestionnaires. Quand le patron demandait quelque chose, personne ne se posait de question morale. Ça faisait partie de la game», a commenté l'ex-employé.
Le stratagème mis en place est simple. Pour verser, par exemple, 30 000 $ à un parti politique, l'entreprise fait un chèque de 3000 $ à 10 de ses employés, soit le maximum qui était permis avant la modification à la Loi sur le financement des partis politiques (le plafond est maintenant de 1000 $). Les employés encaissent et remettent l'argent comptant à l'entreprise; la somme est donnée au parti.
Pour justifier l'émission des chèques, l'entreprise les comptabilise comme étant des avances de fonds pour les déplacements de ses employés; la firme a plusieurs filiales, plusieurs places d'affaires à travers le Québec en plus d'être présente à l'étranger.
«Des avances aux employés, ça fait partie des affaires courantes. Mais il y avait de vraies avances et des fausses. Il y avait donc un registre manuel pour comptabiliser les contributions politiques et suivre leurs traces», a expliqué l'ex-employé, qui ignore si l'astuce se poursuit encore aujourd'hui.
Ce dernier a raconté que pour effacer les avances de fonds, les employés devaient réclamer du «kilométrage bidon» à chaque période de paie, étalant sur des mois le remboursement. «Dans le volume d'affaires de la firme, ça passait inaperçu», a assuré cette personne qui n'a pas été surprise, par ailleurs, par les révélations faites par l'émission Enquête de Radio-Canada.
Un ancien vice-président de la firme de génie-conseil Roche, Gilles Cloutier, a reconnu avoir multiplié les cadeaux aux politiciens, d'avoir déniché des prête-noms pour les partis provinciaux, en plus d'avoir produit de fausses factures pour que Roche contribue aux partis municipaux.
«Pour moi, le pattern n'est pas nouveau. Ça fait des décennies que ça fonctionne comme ça. Aussitôt que la loi de René Lévesque a été adoptée, il y a eu des gens qui ont travaillé à la contourner», a affirmé l'ex-employé de la firme qui est dirigée par un proche de Jean Charest.
Nombreuses réactions

Par ailleurs, le reportage d'Enquête a suscité beaucoup de commentaires et de réactions. Selon l'entrepreneur Lino Zambito, de la firme Infrabec, le milieu de la construction subit des pressions du monde politique pour contribuer au financement des partis. M. Zambito est l'un des acteurs du scandale de l'usine d'épuration des eaux usées à Boisbriand et fait face à la justice.
Ce dernier dit avoir organisé cinq soirées de financement pour l'ancienne vice-première ministre Nathalie Normandeau qui est visée lorsqu'elle était responsable des Affaires municipales. Elle a admis avoir accepté des billets pour des spectacles de Céline Dion et de Madonna de la part de M. Zambito, mais a aussi affirmé que cela n'avait pas influencé ses décisions.
Devant ces faits troublants, le Directeur général des élections (DGE) a déclenché une enquête. Au DGE, on a affirmé avoir été surpris, non pas par l'existence de stratagèmes pour contourner la loi, mais bien par leur ampleur.
De leur côté, les partis d'opposition ont convenu qu'il y a un problème de financement, mais que cela ne les touche pas.
Au Parti québécois, Pauline Marois a donné l'assurance que son parti ne fait pas appel à des prête-noms, une façon de faire dénoncée par le PQ. Elle a souligné que si la commission Charbonneau, qui a le mandat de vérifier s'il y a un lien entre le financement des partis politiques et l'octroi de contrats par le gouvernement, démontrait des comportements inadéquats au PQ, «les gens concernés devront payer pour les gestes posés». «J'en ai rien à cirer», a-t-elle lancé.
Du côté de la Coalition avenir Québec (CAQ), François Legault a juré n'être «jamais» tombé, comme ancien ministre péquiste, dans le financement occulte non plus que comme chef d'un nouveau parti politique. «Ça doit être dénoncé. [...] Il ne doit y avoir aucune attente de retour d'ascenseur», a affirmé celui qui se considère comme «pas achetable».
Si M. Legault estime que les partis doivent faire preuve de jugement, il a banalisé le fait que la CAQ ait obtenu l'appui financier de 46 avocats du cabinet BCF auquel est associé le responsable du financement de la CAQ, Mario Charpentier.
Depuis le Brésil où il est en mission commerciale, le premier ministre Jean Charest a assuré qu'il n'y avait aucun financement controversé au Parti libéral et surtout, aucune équation à faire entre les dons au PLQ et les contrats octroyés.


Haut de la page

Cet article vous intéresse?

Imprimer

Envoyer

Commenter

Voter

Vos réactions

Triez : afficher les commentaires  Du plus ancien au plus récent Du plus récent au plus ancien Du plus aimé au moins aimé Du moins aimé au plus aimé Chargement ...

  • jacques lecuyer - Abonné
    14 avril 2012 00 h 46

    jean le dit

    Si Jean le dit, cel doit être vrai. Je le crois sur parole.

  • demichel - Inscrit
    14 avril 2012 09 h 07

    Il est a la mode, le front aussi large c'est pour les nouveaux écrans télé en 16-9.La comission Charbonneau fera peut-être la lumiere sur cette façon de faire.

  • pinaute - Inscrit
    14 avril 2012 09 h 22

    moi aussi

  • Lorraine Dubé - Abonnée
    14 avril 2012 21 h 23

    Monsieur L'Écuyer
    À propos de ce que dit Jean Charest
    TV5- Il commente les scandales de corruption: «Aucun gouvernement n'en a fait autant que nous en avons fait dans les 2 dernières années pour contrer ce problème»
    http://www.youtube.com/watch?v=Uz0rfK7dRkk
    «Les standards» de Jean Charest:
    http://archives.radio-canada.ca/politique/national

  • Lorraine Dubé - Abonnée
    15 avril 2012 09 h 23

    Monsieur L'Écuyer
    Un rappel du bâillon imposé à l’opposition parlementaire le 18 octobre 2010. 4 jours plus tard, au 13e Sommet de la Francophonie en Suisse, la présence de Steven Harper avec Jean Charest. Le discours inaugural de ce dernier, allocution ayant lieu le même jour que la promulgation au Québec de la loi 115 des écoles passerelles, soit le 22 octobre 2010:
    «Si nous ne défendons pas la langue française, personne d'autre ne le fera...»
    Sans parler des coupures simultanées en francisation pour les immigrants en avril la même année malgré le nombre record de plus de 54,000 nouveaux arrivants. Le PLQ ne fait que privilégier son électorat.
    Permettez-moi cet ajout assez éloquent.
    Le chef de l'opposition Jean Charest indigné du rendement de la CDPQ:
    http://www.youtube.com/watch?v=enV8jXjm5eE&fea
    Avant que ne soient divulguées les pertes historiques de $44 milliards en 2008 à la CDPQ, des élections opportunistes du PLQ aux frais des contribuables pour s'assurer un pouvoir majoritaire et immuable, un an d'écart entre deux scrutins au Québec. Les deux mains sur le volant, le bar est ouvert.

  •  
  • Donald Bordeleau - Inscrit
    14 avril 2012 01 h 02

    Heu et bien

    C'est la firme Cima+ qui est très près de Monsieur Jean Charest.
    Lors de la campagne électorale de Pierre Moreau en 2008, son organisateur dans sa circonscription de Châteauguay, Daniel Rochette, était aussi dirigeant de la firme de génie-conseil Genivar, a appris La Presse. La firme Genivar nous a confirmé que, jusqu'en mai 2010, Daniel Rochette a été adjoint au président de la division des infrastructures municipales.
    Daniel Rochette dit «C'est certain que ça a créé tout un réseau de contacts. Ça donne des entrées et c'est plus facile, par exemple, d'inviter des politiciens pour des levées de fonds.»
    Cima pour élection de Monsieur Charest avec clé en main par André Couturier 26000 $ au PLQ.
    Soixante-quatre dirigeants et employés de CIMA +, une firme d’ingénieurs dont André Couturier est l’un des hauts dirigeants, ont versé un total 171 795 $ à la caisse du Parti libéral du Québec en 2008 et 46 d’entre eux ont contribué pour le maximum prévu par la loi, soit 3000 $, a relevé Québec solidaire. L’ingénieur André Couturier, vice-président à la direction de CIMA +, a dirigé deux campagnes électorales de Jean Charest dans sa circonscription de Sherbrooke, en 2007 et 2008. Il est un ami de Jean Charest depuis 25 ans, a confirmé hier le cabinet du premier ministre. La firme CIMA + comme étant « une championne toute catégorie aujourd’hui des prête-noms, en tout cas, selon toute vraisemblance ».
    Mais la firme CIMA + prêt du PLQ a obtenu d’importants contrats du ministère des Transports (MTQ), souvent en partenariat avec l’entrepreneur général Simard-Beaudry, une entreprise de Tony Accurso. Et voilà pour les liens inquiétants.
    http://www.ledevoir.com/politique/quebec/289773/ch

  •  
  • jocelync - Inscrit
    14 avril 2012 02 h 02

    Beaucoup plus hypocrite qu'aveugle notre système de justice !

    Piétinnement des lois démocratiques par les favorisés du système mais aussi quelle facilité pour eux de pratiquer l'évasion fisale avec ces déboursés officiellement qualifiés de frais de déplacements mais pour du "kilométrage bidon".
    Comme ils doivent être beaux leurs rapports financiers fiscaux officiels.

  •  
  • spirit - Inscrit
    14 avril 2012 02 h 17

    Go

    Au signal, tous ensemble, faisons semblant d'être surpris.
    1,2,3.......Go!

  •  
  • Daniel Hémond - Inscrit
    14 avril 2012 06 h 35

    Ha! OK!

    Si je comprends bien, tous les délateurs sont des menteurs? Les firmes de génie conseil donnaient des sommes aux anges, ou auz d.mons, mais pa aux partis politiques. Ben oui et les 75,000 dollars donnés par le parti Libéral è Jean Charest ça venait d'où et ça servait à quoi, une petite contribution pour Michou?
    C'est fou comme les politiciens sont menteurs. Ils ont monté un stratagème de ripoux et maintenant que le chat sort du sac, ils jurent être blanc comme neige. On en peut plus. Je ne suis plus capable d"entendre leurs mensonges. Je ne peux plus les voir. Il faut absolument changer ce système de mauvaise démcratie qui ne ser qu'à donné carte blanche à des mercenaires du pouvoir occulte. Quand les politiciens deviennent les serviteurs des grandes entreprises il faut les sortir de notre Assemblée Nationale. On ne peut plus avoir confiance à aucun d'entre eux ni aucune. C'est décourageant. On ne peut plus se fier à quiconque, tous coupables.

  • Lorraine Dubé - Abonnée
    14 avril 2012 09 h 43

    À titre de citoyen, un avocat peut contribuer à un parti. Par contre, dans la même année, la CAQ a obtenu l'appui financier de 46 avocats d'un cabinet associé au responsable de son financement.
    Autre astuce divulguée par Jean Brault devant la Commission Gomery, un scandale de politiciens fédéralistes contre la souveraineté. Aucun parti n'est à l'abri. Difficile en effet d'associer à une entreprise des noms d'employés inscrits à leurs adresses civiques. Troublant de voir combien la loi peut être contournée.
    $250,000 au PLQ, $50,000 au PQ et $5,000 à l'ADQ. Une vraie farce. Ainsi, ils éclaboussent tous les partis mais c'est le PLQ qui récolte les gros montants. Diversion. La soumission de l'entreprise de Brault n'étant retenue, le gouvernement du PQ avait été automatiquement disculpé. Contestant le huit-clos de Gomery, Marie Malavoy avait exigé les noms des employés fautifs de Groupe Action pour rembourser le montant

  •  
  • Gilles Théberge - Abonné
    14 avril 2012 06 h 43

    Donc

    Peut-on dire sans rire, on verra?
    Et pourquoi donc cela a-t-il pris des années de cris pour qu'une Commission d'enquête soit créée?
    Et pourquoi a-t-on la désagréable impression que les meilleurs enquêteurs ne sont peut-être pas dans la patente de madame la juge, mais plutôtà Radio Canada
    Quand on pense que l'un de ses adjoints, qui on ne sait pas pourquoi vient de McGill s'est fendu d'un texte dans Le Devoir pour dire qu'il ne croyait pas beaucoup aux audiences publiques, est-ce à dire qu'on aimerait laver son linge sale en famille ?
    Nous, en majorité sommes de la gang de Deschamps, sommes à l'aise de dire, comme lui : On veut pas le crouaire on veut le vouaire!

  •  
  • M. Miclot - Inscrit
    14 avril 2012 06 h 51

    Et alors

    Que va-t-on faire? Tout le monde le savait ou s'en doutait sauf ceux qui en bénéficiaient , c'est à mourir de rire . Les partis politiques vont-ils rembourser ces dons illégaux? Va-t-on annuler les contrats obtenus par ce moyen?

  •  
  • Normand Carrier - Abonné
    14 avril 2012 07 h 18

    Comment couper la tête de l'hydre .....

    Le système de prête-noms est connu depuis longtemps mais comment les firmes en faisaient leurs comptabilités l'est moins et les détails donnés dans cette article sont intéressants .....
    Ce qui intéresse les contribuables sera la facon d'enrayer ce système de magouille ! Pour y parvenir la loi électorale devra être modifiée pour abaisser les dons a $100. ce qui éliminera les prête-noms et d'avoir un droit de regard sur la compabilité des firmes qui suscitent des doutes et doivent être enquêtées ...... Les pénalités et les peines devront être exemplaires pour celles qui seront reconnus coupables et devront avoir un effet totalement dissuasif ...... Tout comptant ou blanchiement d'argent devront être puni sévèrement ..... Ce qui incluera des pouvoirs accrus pour le D.G.E.Q. et ne pas hésiter a faire une commission d'enquête sur le financement des partis politiques a chaque dix ans si nécessaire ......
    Les électeurs ne devront jamais répéter l'erreur de donner trois mandats a un gouvernement pourri comme celui de Jean Charest et qui après de multiples scandales a pris plus de trois ans pour acqiescer a une enquête publique et s'en tirer avec une élection avant d'en connaitre les résultats ..... Mais il semble que les électeurs en savent assez sur la corruption , les magouilles et la collusion sous ce gouvernement pour prendre une décision éclairée lors de la prochaine élection ......

  • M. Miclot - Inscrit
    14 avril 2012 11 h 02

    Sanas oublier qu'il faudrait un DGE neutre et actif. Pas un DGE téléguidé par le gouvernement en place et souffrant de Tremblayite, la fameuse maladie montréalaise qui se manifeste par le `` je n'étais pas au courant``.

  • Pierre Sabourin - Abonné
    14 avril 2012 12 h 44

    Les solutions sont:
    -Aucun financement pour les partis.
    -Les députés ont un salaires à titre de fonctionnaire.
    -Ceux qui ce présentent aux élections envoient un C.V. au D.G.E. qui lui les soumets aux électeurs avec leurs cartes pour leurs bureau de vote.
    -Aucune sollicitations téléphoniques. Pas de robocall.
    -Les débats publiques médiatisés et leurs cv pourrait être entre autre leurs seules moyens de publier leurs philosophie et politiques.
    Tout les applicants au mêmes niveaux.
    C'est mon opinion.
    Pierre Sabourin

  •  
  • PierreII - Inscrit
    14 avril 2012 07 h 18

    Depuis le Brésil,Jean Charest a assuré qu'il n'y avait aucun financement controversé au Parti libéral

    Bien sur.Et c'est pour çà qu'il n'a pas hésité une seconde à instituer une commission d'enquête publique sur la corruption dans la construction et le financement des partis politiques.
    Et le plan naard n'est surtout pas une diversion.
    Les Zapartistes et le Plan Nord de Jean Charest
    http://www.youtube.com/watch?v=helTcgyMNeU

  • Normand Carrier - Abonné
    15 avril 2012 06 h 52

    Il est donc bon a l'extérieur du pays notre premier ministre ! C'est dommage qu'il soit si pourri au Québec et qu'il mente encore plus lorsqu'il est a l'extérieur ..... Mais s'il a dit cela au Brésil , il faut le croire !!!!! Le vieux proverbe s'applique encore :<A beau mentir , qui vient de loin.>

  •  
  • dany tanguay - Inscrit
    14 avril 2012 07 h 44

    Jean-Marc Fournier

    Si on allait fouiller le dossier Jean-Marc Fournier qui a fait un séjour de quelques années chez SNC Lavallin avant de revenir en politique, ce pourrait-il que l'on ferait des découvertes intéressantes..........

  • Louise Lefebvre - Inscrite
    14 avril 2012 22 h 50

    Excellente idée!

  •  
  • François Dugal - Abonné
    14 avril 2012 07 h 49

    Le DGE

    Le DGE tombe des nues!
    Ben coudonc ...

  •  
  • Jean Bourgeois - Inscrit
    14 avril 2012 08 h 03

    C'est bien cela

    Demandez à n'importe lequel de nos 125 députés s'ils ont déjà fait dans la malversation. Je suis assuré qu'ils vous diront tous non. Alors, en quoi votre article nous apprend-il quelque chose?

  •  
  • Sanzalure - Inscrit
    14 avril 2012 08 h 14

    On mérite mieux que ça...

    La «classe politique» est bien mal placée pour faire des remontrances aux étudiants. Qu'ils commencent eux par assumer leur «juste part» de responsabilités dans les affaires de la société.
    Serge Grenier

  •  
  • BROMONTOIS - Inscrit
    14 avril 2012 08 h 33

    Quel gouvernement aura le courage de ...

    Garantir un pourcentage de l'impôt et des amandes perçus lors d'enquête suite à des informations sur évasion fiscale ou pot de vin ? On parle d'acte criminel et nous sommes toujours trop conciliant envers les voleurs à cravate . Ceux qui se sont dévoilé récemment suite au coulage d'information sur les comptes de banques suisse devraient gagner leur immunité en devenant témoin au procès de ces banques afin de les forcer à nous fournir tout compte de nos citoyens . Ces banques sont complices de fraude et devraient être traitées comme tel .

  •  
  • Jacques Lafond - Abonné
    14 avril 2012 08 h 37

    Loi innapliquable

    La loi sur le financement des partis politiques ne fait aucun sens. C’est une loi qui est totalement inapplicable. Alors les parties politiques trichent, et les corporations en profitent.
    Les québécois doivent arrêter de jouer à l’enfant. Cette loi sur le financement des partis politique est une porte grande ouverte à des collusions et ententes malsaines.
    Il faut changer cette loi. Libéraliser le financement des partis politiques comme ça se fait partout ailleurs est la solution.

  • André Chevalier - Abonné
    14 avril 2012 10 h 31

    «Libéraliser le financement des partis politiques comme ça se fait partout ailleurs est la solution.»
    Ça donne comme résultat que le pays est contrôlé par le complexe militaro-indistruel et Wall Street comme aux USA.

  • Jacques Lafond - Abonné
    15 avril 2012 11 h 06

    Je réitère ici que c’est la loi sur le financement sur les parties politique que est le problème ici, et rien d’autre. Cette loi est totalement inapplicable, et les parties politiques n’ont d’autres choix que de faire affaire avec des ‘’organisateurs’’ qui leurs offrent l’élection clef en main; incluant le financement.
    Dans un tel contexte, il est évident que ces ‘’organisateurs’’ en mènent large à l’intérieur du parti et éventuellement du gouvernement élu.
    Une libéralisation du financement des partis politiques permettraient à tous, incluant les corporations, de contribuer correctement aux parties politiques. Dans un tel cas, les parties politiques et éventuellement le gouvernement ne seraient pas liés aux organisateurs d’élections, parce que les organisateurs seraient payés par les parties politiques et non l’inverse.
    Aussi, le financement public des partis politiques n’est définitivement pas une solution. On va financer publiquement l’élection toute personnes intéressée à diriger le pays ??!!?? Pensez-y donc un peu …. Vous ne trouvez pas qu’il risque d’avoir 8 millions de personnes qui se présentent aux élections … Ne parlons même pas des budgets explosifs d’une telle politique …
    Les québécois dans leurs naïveté essaye de réinventé la roue avec toute sortes de politiques les plus bizarres les unes que les autres. On ne manque pas d’imagination ici. On manque peut-être un peu d’intelligence, mais définitivement pas d’imagination …

  •  
  • glanglais - Inscrit
    14 avril 2012 08 h 39

    Pôvre DGE...

    Bon samedi,
    Un candidat peut être autorisé à dépenser 100 000$. Son agent officiel comptabilise 100 000$ et le Directeur général des élections donne sa bénédiction sur la base des informations fournies. Mais à côté, 150 000$ sont dépensés en "cash" sans laisser de trace apparente. Ce n'est pas une pratique exclusive à une entreprise en particulier de fournir de l'argent comptant. C'est le fonctionnement devenu la norme pour tous les partis politiques sans aucune exception. Dans les circonstances, c'est le DGE qui semble être le Zozo de la farce. Le DGE deviendrait plutöt le Directeur général des enquêtes si jamais il embarquait de pied ferme dans ces nombreux scandales.
    Gaston Langlais - Gaspé.

  •  
  • Denis Miron - Inscrit
    14 avril 2012 08 h 43

    Double comptabilité, double language, double visage, double vie, double identité...Simple hypocrisie

    C'est vraiment dommage que 90% des politiciens donnent une mauvaise réputation aux 10% qui restent.
    Citations de Henry Alfred Kissinger.
    «La corruption est l’un des principaux obstacles à ce mieux-vivre et requiert, plus que jamais, toute notre indignation et l’indignation de tous, sans distinction de couleur de peau, de parti politique, de religion, d’intelligence ou de niveau social.
    La corruption ne se nourrit pas d’elle-même. Elle se nourrit de lois insuffisantes, de comportements scélérats, des faiblesses de l’homme et de la lâcheté de tous.» J.M.Kuhn
    Sommes-nous vraiment demandés pourquoi les milieux d’affaires de concert avec les Wall Street, Bay Street et consort tels les politiciens comme les Harper, Max Bernier, Charest et Bachand sont contre toutes réglementation des marchés ?
    L’autoréglementation des marchés est une immense farce de mauvais goût qui relève d’une puissante et incessante propagande qui vise à assujettir l’état au monde des affaires louches

  •  
  • plan sud - Inscrit
    14 avril 2012 08 h 51

    Le savoir faire

    Il est bien évident que les étudiants sont aveuglés par leur projet d'équité sociale. Naif meme.
    Il aurait été bien plus efficace de participer à la caisse électorale,
    200,000 x 100$...
    Pourtant depuis le début du conflit que les libéraux le disent...chacun doit faire sa part...pas dure à comprendre!!!!

  • Serge Beauchemin - Abonné
    14 avril 2012 10 h 16

    Est-ce à dire que si les étudiants avaient contribué à la Caisse du Parti Libéral du Québec, Jean Charest aurait fermé les yeux sur l'augmentation des frais de scolarité...?
    Hypothèse intéressante!!

  •  
  • Luciano Buono - Abonné
    14 avril 2012 08 h 52

    Une vraie farce

    Saviez-vous que la formation des ingénieurs comprend un cours d'éthique obligatoire...ça ne donne pas grand chose à mon avis dans la plupart des cas.
    Voici celui offert par polytechnique, par exemple:
    SSH5501 Éthique appliquée à l'ingénierie [détails]
    Nombre de crédits : 2 (3 - 0 - 3)
    Département : Mathématiques et génie ind.
    Préalable(s) : 27 cr.
    Corequis :
    Statut de l'ingénieur et valeurs de la profession d'ingénieur. Lois et règlements concernant la profession d'ingénieur. Éthique et déontologie. Spécificité de l'éthique. Courants théoriques en éthique. Raisonnement et prise de décision éthiques. Justification et mise en application de la décision éthique. Études de cas: conflit d'intérêt, tentative de corruption, manque d'équité, danger pour la santé et la sécurité des travailleurs ou du public, danger pour l'environnement. Avenir de l'éthique appliquée.

  • André Chevalier - Abonné
    14 avril 2012 10 h 35

    Excellente initiative !
    Pour contourner les règles sans risque, il est nécessaire de bien les connaître.

  •  
  • Lorraine Dubé - Abonnée
    14 avril 2012 09 h 08

    « Jean Charest assure qu'il n'y avait aucun financement controversé au Parti libéral...» Que d'arrogance!

    À titre de citoyen, un avocat peut contribuer à un parti. Par contre, dans la même année, la CAQ a obtenu l'appui financier de 46 avocats du cabinet BCF associé au responsable de son financement. Ce qui est discutable.
    L'astuce était divulguée par Jean Brault devant la Commission Gomery, un scandale de politiciens fédéralistes contre la souveraineté. Il est troublant de voir combien la loi peut être contournée. Aucun parti n'est à l'abri. Difficile d'associer à l'entreprise ces noms d'employés inscrits à leurs adresses civiques.
    $250,000 au PLQ, $50,000 au PQ et $5,000 à l'ADQ. Une vraie farce. Ainsi, ils éclaboussent tous les partis mais c'est le PLQ qui récolte les gros montants. Diversion. La soumission de l'entreprise de Brault n'étant retenue, le gouvernement du PQ avait été automatiquement disculpé. Contestant le huit-clos, Marie Malavoy avait exigé les noms des employés fautifs de Groupe Action pour pouvoir rembourser le montant pas la suite.
    Démagogie Charest à l'oeuvre:
    TV5- Jean Charest commente les scandales de corruption dans le bâtiment: «Aucun gouvernement n'en a fait autant que nous en avons fait dans les 2 dernières années pour contrer ce problème»

  • Loraine King - Inscrite
    14 avril 2012 15 h 41

    Vous aimerez sans doute lire attentivement le Rapport Moisan.
    ...Par l’entremise des employés de son entreprise ou par des achats de billets, Brault a versé des contributions au Parti québécois, à hauteur de 96 400 $.
    Le parti connaissait cette situation et il fermait les yeux.
    Par l’entremise des employés de son entreprise ou par des achats de billets, Brault a versé des contributions au Parti libéral du Québec, à hauteur de 8 325 $
    Rien ne prouve que le parti connaissait cette situation.
    Jean Charest a sans doute raison de dire que c'est son gouvernement qui a fait le plus pour jetter de la lumière sur la corruption et le financement des partis.

  • NiDieuNiMaitre - Inscrit
    14 avril 2012 16 h 50

    C'est vrai, il a attendu plus de 2 ans pour contrer ce problème...

  • Lorraine Dubé - Abonnée
    14 avril 2012 21 h 10

    Le PLQ, 3 ans à être le seul parti à refuser obstinément une VRAIE enquête publique.
    «Le PLQ a atteint un sommet dans le non-débat au conseil général de novembre 2010» Aucun délégué n'avait voulu appuyer la proposition du militant Martin Drapeau. Pendant qu’on réclamait partout au Québec la tenue d'une commission d’enquête sur les liens entre l’industrie de la construction et le monde de la mafia, le PLQ au pouvoir préférait débattre de hausser les salaires des députés.
    «Le chef libéral Jean Charest a reçu une preuve éloquente de l’emprise qu’il exerce sur son parti. Les militants libéraux ont refusé net de débattre»
    http://www.ledevoir.com/politique/quebec/310958/co

  •  
  • Raymond CHALIFOUX - Abonné
    14 avril 2012 09 h 10

    Et pendant tout ce temps...

    Revenu Canada et le Ministère du Revenu du Québec pourchassent, harcèlent, menacent et sermonent jusqu'à Amen commerçants et enetrepreneurs de coin de rue, soupçonnés de camoufler ici et là quelques dollars...
    Qui a dit que tuer deux personnes était une bien mauvaise idée, qu'il fallait plutôt en exterminer des milliers pour pouvoir se payer l'immunité?
    Tous connaissaient l'existence de ce stratagème, certes, mais ça ne rend pas l'affaire moins révoltante pour autant: chacun de ces gestes devraient mériter un dossier au Criminel: Ça suffit l'usurpation de la Démocratie! "ENOUGH"!

  • claude boucher - Inscrit
    14 avril 2012 16 h 02

    Ma mère de 92 ans,alzheimer qui est en CHSLD qui n'a que sa maigre pention de vieillesse et un maigre revenu d'intérest,s'est fait réclamer deux fois quelques centaines de dolars par le ministre Bachand,pendant que tous les députés du PLQ vont chercher 100,00.00$ chacun a engloutir dans la caisse occulte du PLQ et cela par des tour de passe-passe criminels.Cherchez l'erreur?En plus,le frisé est allé piger 75,000.00$ par année dans cette caisse en nous disant sans rire qu'il ne pouvait joindre les deux bout avec son maigre salaire de 192,000.00$ annuel plus ses comptes de dépenses non imposables.
    A tous les jeunes étudiants en grève,de grasse,allez voter,vous ètes notre avenir.

  •  
  • Gilbert TalbotGilbert Talbot - Abonné
    14 avril 2012 09 h 14

    Financement des partis uniquement public ?

    Peut-être faudra-t-il en venir à un financement uniquement public des partis politiques, car même en limitant les contributions individuelles à 1000.00$ on peut toujours s'organiser pour avoir plus de prête-noms.

  • François Ricard - Abonné
    14 avril 2012 12 h 37

    Financement public et un contrôle serré des dépenses.
    Nul parti ne pourrait dépenser plus que les contributuions officiellement reçues.

  •  
  • Dominic Marin - Abonné
    14 avril 2012 09 h 36

    Tout les partis ???

    On n'arrête pas de mentionner que tous les partis (lire les libéraux et le PQ) ont bénéficié et bénéficient de dons illégaux. Mais jusqu'à présent, tout indique que seuls les libéraux bénéficient réellement de ces dons avec des hausses au niveau de leur financement spectaculaires lorsqu'ils sont au pouvoir. Sans compter que tous les têtes dirigeantes que nous avons vu sont d'allégeance libérale. Tandis que pour le PQ non seulement leur financement reste stable d'année en année mais aussi et surtout, personne n'a fourni la moindre preuve comme quoi ils avaient octroyé des avantages aux fameux faux donnateurs. L'astuce est simple, on donne de petites quantités d'argent sale à tout le monde mais de grandes quantités au parti que l'on appui. Ainsi tout le monde est éclaboussé et ce, sans égard à la quantité. Il faut un Michel David (fervent partisant du PQ) pour réussir à associer sans discernement PQ, Libéral et financement illicite.

  • Lorraine Dubé - Abonnée
    14 avril 2012 10 h 13

    Monsieur Marin
    Je suis entièrement en accord avec vous, mon message publié à 9h08 relatait cette astuce.
    Ainsi tout le monde est éclaboussé et ce, sans égard quant à l'écart du financement entre le PLQ et le montant minime accordé aux autres partis politiques.
    J'aurais souhaité plus de nuance de la part de monsieur David. Jamais l'ampleur d'absence d'éthique n'a été répréhensible comme c'est le cas pour le parti libéral de Jean Charest.
    Plus de 3 ans à refuser une enquête publique digne de ce nom, le temps de faire diversion, comme lors des pertes de $ 44 milliards en 2008 à la CDPQ, cachées à la population avant un déclenchement d'élection opportuniste rendant le statut du PLQ majoritaire et immuable.

  • Jean Pierre Bouchard - Inscrit
    14 avril 2012 20 h 09

    La commission Charbonneau avec ses sept ou huit séances non publiques sème le doute et peut faire penser que la commission pourrait avoir pour but d'emmener le PQ avec le PLQ dans le navire échoué des partis compromis dans le financement illicite. Rappelons nous la partialité de la commission Bastarache, le commissaire étant identifié aux libéraux.
    La complicité réellement éprouvée entre financement illicite d'entreprises et un parti se trouve dans le PLQ comme dit plus haut par D.Marin.
    Ce qui est certain c'est que si la pratique des prêtes noms a touché le PQ à un certain niveau cela ne l'a pas été profondément. Les milieux d'affaires n'ont trouvé dans le PQ qu'un parti -séparatiste- encourageant l'instabilité économique alors..

  •  
  • Donald Bordeleau - Inscrit
    14 avril 2012 09 h 42

    Une nouvelle.

    Il semble que Monsieur Fournier ne parlera pas aux médias. Avec Monsieur Pierre Duhaime, il a travaillé pour réaliser la réélection du PLQ.
    Mais il a des choses à cacher. Peut-être une autre démission en vue.
    C'est bientôt l'Acension.

  •  
  • Francois Dorion - Abonné
    14 avril 2012 09 h 49

    la construction

    En vertu de sa juridiction en matière de travaux publics, le gouvernement a le devoir d'octroyer des contrats de construction selon une politique qui doit être débatue en période électorale et à l'Assemblée Nationale.
    Qu'une firme d'ingénieurs finance les deux partis pour que ce débat ait lieu ne me scandalise pas.
    Mais que ce financement soit occulte est plus inquiétant.
    Et que la population, qui participe au débat électoral par le vote ne participe pas au financement mais se scandalise qu'on le fasse me paraît être de l'hypocrisie et de la tartuferie de haut vol.
    En fait, ce dont on a besoin, c'est d'un débat de fonds sur les dépenses gouvernementales, qui sont souvent somptuaires, et sur les mandats que le gouvernement provincial a à remplir en vertu des compétences qui lui sont octroyées par l'art. 92 de la constitution de 1867.

  • Jean Pierre Bouchard - Inscrit
    14 avril 2012 20 h 24

    Selon la loi du financement démocratique des partis de René Lévesque. Les citoyens financent les partis point et simplement. Afin de mettre fin au patronage des partis sous les gouvernements Taschereau, Duplessis, Lesage, Johnson, Bourassa. Voire depuis 1867.
    Loi naïve? Probablement, reste la question si la démocratie n'est qu'une tromperie depuis que la révolution française a tenté la république? Si les vrais électeurs ne sont que des grands propriétaires détenteurs de capitaux. Pour une loi malgré tout du financement étatique des partis.

  • Lorraine Dubé - Abonnée
    15 avril 2012 11 h 40

    Le mode de scrutin dysfonctionnel est un enjeu crucial.
    Tel que mentionné dans mon message du 14 avril 15 h 35, lien inclus pour consulter sa lettre au Devoir, Robert Burns père de la loi du gouvernement Lévesque suggérait qu'il faut renforcer les mesures d'une législation en cours de route pour prévenir d'autres subterfuges. Une loi n'est pas faite pour rester comme ça de façon éternelle. Le DGE doit obtenir plus de pouvoir. Il est réfractaire à l'idée de contributions d'entreprises, ce que le parti québécois s'est toujours fait un devoir de refuser. Difficile par contre de cibler les entreprises qui contreviennent lorsque le financement provient d'employés avec leur adresse civique. Seule leur soumission non retenue par le gouvernement peut disculper le parti pouvoir. L'astuce est d'éclabousser les partis en donnant le plus gros des sommes au PLQ, ce qui fût déjà prouvé. L’écart est considérable. Le financement du PLQ augmente de manière significative lorsqu'au pouvoir.
    Le PQ a toujours réclamé la commission d'enquête, même si elle devait inculper un membre de son parti. Le refus du PLQ et de ses militants pendant 3 ans est révélateur de l'absence d’éthique et l’ampleur des magouilles entretenant le cynisme. Il serait intéressant d'aller jusqu'au gouvernement de Robert Bourassa. On n'a qu'à mentionner les anomalies décriées lors de l'épisode des Jeux Olympiques de Montréal.

  •  
  • ghislaine fortin - Inscrite
    14 avril 2012 10 h 14

    Cours d'éthique: risible

    L'éthique est une notion qui s'acquiert dès l'enfance donc tout au long de l'apprentissage de la vie.
    Quelques cours à l'université ne redresse pas une personne à qui on n'a jamais enseigné que mentir ce n'est pas beau, que voler ce n'est pas plus beau etc. Pour moi, les "cours" d'éthique, ne sont qu'une farce monumentale pour ne pas dire plus.
    On met un tuteur à un jeune arbre pour qu'il pousse droit. Si un arbre est laissé à lui-même et pousse tout croche, ce n'est pas un tuteur à l'âge adulte qui va le redresser....

  •  
  • Jacques Morissette - Abonné
    14 avril 2012 10 h 20

    Les dieux sont tombés sur la tête.

    «Depuis le Brésil où il est en mission commerciale, le premier ministre Jean Charest a assuré qu'il n'y avait aucun financement controversé au Parti libéral et surtout, aucune équation à faire entre les dons au PLQ et les contrats octroyés.»
    Ce que M. Charest dit, ça me rqppelle le $75000 qu'il recevait de son parti, sous la table. C'est facile de constater que l'argent prend maintenant beaucoup trop de place dans les chaumières. Il faudrait bien dépoussiérer tout ça et passer l'aspirateur.

  •  
  • Bernard Gervais - Abonné
    14 avril 2012 10 h 21

    Rire de l'électorat

    Comme c'était à prévoir, Jean Charest a rejeté ce que l'émission ENQUÊTES sur le financement de son parti.
    Autrement dit, aucun rapport entre l'octroi à la firme Infrabec d'un important contrat et le fait que cette entreprise avait auparavant, par l'entremise de cocktails pour l'ex-ministre Normandeau, généreuement contribué à la caisse du PLQ.
    Et notre cher PM a l'audace de nier tout cela et de s'imaginer qu'on va croire en sa bonne foi, même si tout le monde sait très bien que son gouvernement est depuis longtemps corrompu jusqu'à l'os ! Ça nous en dit beaucoup sur le respect qu'a M. Charest pour les électeurs !

  • stephane dupras - Inscrit
    14 avril 2012 16 h 26

    Quelqu'un se rappelle de Brian Mulroney ? L'élève a dépassé le maître.

  •  
  • Martin Fafard - Inscrit
    14 avril 2012 10 h 25

    Un personnage très important

    Et n'oubliez pas que chez CIMA+, travaille un personnage "puissant"...http://www.cevc.gouv.qc.ca/CEVC/Documents/Files/Pi

  •  
  • Melkitsedeq - Inscrit
    14 avril 2012 10 h 51

    Mon dernier commentaire au Devoir

    -PQ : faire de la politique autrement…vraiment ? Les routes étaient-elles moins dispendieuses et plus jolies quand le PQ était au pouvoir ?
    Y as t‘il une relation entre la famille Desmarais et Madame Pauline Marois (ou son conjoint) ?
    Si mous sommes contre la corruption nous devrions barrer PLQ et PQ des options lors des prochaines élections.
    -Si François Legault estime à $ 6 000 000 une élection provinciale.
    Le NPD au niveau Fédéral a réussi à obtenir une majorité de contés au Québec avec des moyens modestes. Cela veut-tu dire que les vielles méthodes : Téléphonistes pour faire sortir le vote, publicité à la télé, pancartes électorales sur poteaux sont dépassé ??? Pourquoi ne pas actualiser les campagnes électorales avec les nouvelles technologies. Les rendre les plus économiques, puis un financement uniquement public.
    -Comme vous l’avez constaté faites une loi et déjà certains cherchent un moyen pour la contourner. Ou est la vraie solution ???
    Je remercie le Devoir de rendre accessible ce lieu d’échange.
    Je sympathise avec les modérateurs qui ont à lire tous ces commentaires. Comment faites-vous ?
    Christian
    Sherbrooke

  • Normand Carrier - Abonné
    14 avril 2012 14 h 22

    Nous savons selon un rapport du gouvernement fédéral que les routes construites au Québec depuis 2003 coûtent de 30@40% plus cher que dans le reste du Canada ..... A quoi attribuer cette surfacturation ? Je crois que vous avez un élément de réponse dans le cas de Boisbriand et son usine d'épuration ......
    Il n'y a aucune relation entre Pauline Marois et so mari et la famille Desmarais et ils n'ont jamais été chez les Desmarais comme Jean Charest .....
    Faut pas penser que le NPD au niveau national n'a pas dépensé autant que le PLC et presqu'autant que les conservateurs ...... Ce n'est pas l'élection qui coûte cher mais les magouilles , la corruption et la collusion entre les élections par les libéraux présentement au pouvoir ....La on parle de milliards de pertes .....

  • Lorraine Dubé - Abonnée
    14 avril 2012 15 h 35

    Robert Burns, père de la loi sur le financement des partis politiques du gouvernement Lévesque croit toujours une erreur que de permettre aux entreprises de contribuer. Bien qu'illégal, la ministre libérale Courchesne lors d'une déclaration trouvait pourtant naturel une telle contribution. Le juge Burns suggérait en 2010 d'autres voies pour renforcer la loi:
    «Que l'on durcisse les mesures. Une loi, ce n'est pas fait pour rester comme ça de façon éternelle. S'il y a des ajustements à faire en cours de route, qu'on le fasse» Il proposait entre autre d’accorder plus de pouvoirs au DGE, faire des enquêtes auprès des compagnies et aller voir dans les livres. Améliorer la loi en visant les prête-noms par une amende beaucoup plus importante pour dissuader les contrevenants.
    André Larocque, sous-ministre à la réforme électorale et parlementaire au gouvernement Lévesque écrivait en 2006 :«L'initiative de consolider la loi et de refaire les dents de son principe fondamental appartient aux citoyens, aux seuls électeurs. Il est urgent que soit constituée une commission publique de consultation des citoyens pour rasseoir la loi sur son socle démocratique comme il se doit. «Les membres de la Commission reconnaissent que la population consultée et intéressée à la question veut un changement du mode de scrutin»
    http://www.ledevoir.com/politique/quebec/284540/fi

  •  
  • Claude Chicoine - Inscrit
    14 avril 2012 11 h 08

    Des hypocrites!

    Tout le monde connaît la règle, tant en politique qu'en affaires: "Scratch my back, I will scratch yours!". Bien plus, cela est tout à fait normal et correct en autant qu'on en respecte les tenants et aboutissants.
    Ici, le malaise vient du fait qu'on utilise des paravents pour contourner une Loi. Partant, on en retirer des bénéfices indûs sur le dos des contribualbles puisqu'en bout de ligne, ils paient plus qu'il ne faut. Bien plus, on arrive même à faire élire des indésirables.
    Les politiciens et leur entourage connnaissent bien la manoeuvre, en profitent abondamment et observent la loi de l'omerta.
    Qu'ils en aient rien à cirer ou pas, leur hypocrisie collective, tous partis confondus, ne passe pas la rampe.

  •  
  • jean beauregard - Abonné
    14 avril 2012 11 h 17

    Maintenant, on connait un côté de la médaille

    Maintenant on connait le premier côté de la médaille: les contributions illicites ont touché les trois partis politiques principaux du Québec et ce depuis au moins 1994. Il reste l'autre côté de cette même médaille: comment se fait le retour d'ascenceur, car les contributions politiques doivent produire un résultat en retour. Or tous les contrats gouvernementaux se font par appel d'offres, il s'en suit que la seule réponse possible est la manipulation de ces appels d'offres.

  •  
  • emeri - Abonné
    14 avril 2012 11 h 26

    Vivement...

    Oui, vivement la Commission Charbonneau publique!
    Et tant qu'à y être:
    Vivement les élections!
    Réjean Grenier

  • Mathieu Bouchard - Abonné
    14 avril 2012 14 h 04

    Euh... dans quel ordre ?
    Je veux dire... Charest a gagné celle de 2008 en partie parce qu'il a refusé de dévoiler la perte de 39 milliards de la CDPQ sous prétexte que le rapport devait être publié à la date habituelle. On rappelle que le chef de la CDPQ avait déjà quitté son poste depuis avril et que c'était déjà connu qu'il allait travailler chez Power-Desmarais à partir de janvier 2009 (3 semaines après les élections).
    Donc est-ce qu'on veut vraiment que la Commission Charbonneau donne des résultats seulement après les élections ?
    C'est pas nécessairement mauvais d'avoir des élections vite, mais c'est pas évident que c'est la meilleure chose.

  •  
  • Bernard Gervais - Abonné
    14 avril 2012 11 h 39

    Rire de l'électorat (correction)

    Comme c'était à prévoir, Jean Charest a rejeté ce que l'émission ENQUÊTES a révélé au sujet du financement de son parti.
    Autrement dit, aucun rapport entre l'octroi à la firme Infrabec d'un important contrat et le fait que cette entreprise avait auparavant, par l'entremise de cocktails pour l'ex-ministre Normandeau, généreuement contribué à la caisse du PLQ.
    Et notre cher PM a l'audace de nier tout cela et de s'imaginer qu'on va croire en sa bonne foi, même si tout le monde sait très bien que son gouvernement est depuis longtemps corrompu jusqu'à l'os ! Ça nous en dit beaucoup sur le respect qu'a M. Charest pour les électeurs !

  • Jean-Guy Dagenais - Abonné
    14 avril 2012 15 h 05

    Mais que peut-il dire autre que ''cé pas moé qui l'a fait''.
    Ah les maudits séparatisssse, en ton nom, on fait des exactions, car comme disait un autre libéral à la retraite ''tout est bon pour battre le piquiou !''

  •  
  • stephane dupras - Inscrit
    14 avril 2012 16 h 20

    la ma tante

    Pauline Marois n'a-t-elle pas bénéficié des largesses d'au moins une de ses nièces durant sa course au leadership du pq ? Est ce que la nièce en question a eu un gros cadeau pour sa fête ?

  • André Bissonnette - Abonné
    15 avril 2012 00 h 14

    les courses au leadership ne sont pas soumises à la loi sur le financement des partis politiques. Assez de désinformation, cher Stéphane

  •  
  • NiDieuNiMaitre - Inscrit
    14 avril 2012 16 h 38

    Le plan nord c'est un cadeau aux firmes de génie-conseil

    Après plusieurs dizaines de mois à réclamer une commission d'enquête, les révélations de Gilles Cloutier sentent pratiquement le réchauffé. Préparez-vous à des élections en automne ce qui donnera une bonne raison à la commission Charbonneau d'entammer ses audiences à huis-clos. Campagne électorale oblige...

  •  
  • Jean Pierre Bouchard - Inscrit
    14 avril 2012 20 h 36

    Financement étatique des partis

    Par une moyenne du résultat électoral passé et celle des sondages en fin de mandat pour distribuer les fonds, L’État devrait assurer 95% du financement des partis politiques. Les contributions personnelles ne devraient pas dépasser 20 dollars. Dans un monde qui a remplacé le citoyen par le consommateur, un monde où l’argent est la première idole. Pas le choix pour que le système politique ait du sens.
    Le financement citoyen des partis est pratiquement mort, la dernière fois que cela a marché en partie c’est avec Obama au moment de son élection comme président, l’internet avait encouragé un certain financement populaire pour sa campagne sans oublier que ce sont tout de même les grandes entreprises qui ont procuré les centaines de millions et plus nécessaire pour que le Barack si populaire à l’époque puisse se faire élire.
    L’abolition des cocktails de financement à 300$ le repas, il faut aussi que ça finisse pour tous les partis!
    Constituer des assemblées constituantes sur des sujets sociaux avec relais sur internet pas seulement dans des lieux publics voilà ce qui doit retenir l’attention de partis qui se veulent démocratiques dans le contexte actuel.
    Le financement citoyen des partis, belle initiative de René Lévesque. Constat d’échec hélas dû à la fourberie humaine.

  •  
  • Richard Guillemette - Inscrit
    14 avril 2012 20 h 36

    La poule ou l'oeuf? Je prends Marteau

    Gilles Cloutier mérite, de ma part, une médaille de bravoure et l’appui de la population. Qu’importe les raisons qui le poussent à parler maintenant, ce que le peuple québécois veut, c’est que ces choses soient mises à jour et que les pourris paraissent sous leurs vrais jours.
    Ce genre de châtiment (dénoncer la racaille au grand jour) est bien plus efficace et davantage conforme à la justice que dix années de prison parce que le criminel a plaidé coupable à des accusations et que tout le stratagème demeure caché.
    Proclamons haut et fort que les dirigeants criminels (d’entreprises ou gouvernementaux) concernés préféreraient que Marteau s’occupe de leur dossier, plutôt qu’une Commission transparente. En plaidant coupable, les criminels sont morts de rire.

  •  
  • Frank M. Sobayo - Inscrit
    15 avril 2012 08 h 24

    Pauline: « Elle en n'a rien à cirer ! »

    Mme Marois n'en sait absolument rien !
    Jean Charest a démenti toutes de ces magouilles ... [?]
    Mme Normandeau est une « groupie » de Céline ...
    Chacun des Ministres du gouvernement Charest doit recueillir à chaque année 100,000 $ pour ainsi remplir une des conditions pour être nommé au club sélect du cabinet des Ministres du Parti libéral.
    Ceux qui ont commencés à parler dans les médias, jeudi dernier, Monsieur Gilles Cloutier, ex-vice président de la firme d'ingénieur Roche, à l'émission enquête, affirme clairement que le Parti Québécois recevait des argents de cette firme d'ingénieurs.
    Où est le problème?
    La commission Charbonneau donnera surement et inéluctablement, d'autres éclairages sur les traficotages de soumissions dans les officines gouvernementales.
    Qui dit vrai Pauline ou Jean John ??? [?]
    Frank
    *

  •  
  • Jean Tremble - Inscrit
    15 avril 2012 13 h 23

    Je ne voterai pas

    Aux prochaines élections provinciales, je ne voterai pas pour le PLQ parce que c’est une engeance de malfrats.
    Je ne voterai pas pour le PQ, parce que c’est sous la gouverne de Pauline Marois –alors ministre de l’Éducation- que fut drastiquement diminué le nombre d’attribution de prêts et de bourses et que fut instauré la taxe à l’échec.
    Je ne voterai pas pour le CAQ, parce que je n’ai nulle envie de caqueter comme si je n’avais qu’une cervelle d’oiseau.
    Je ne voterai pas pour QS, pour cause de bicéphalisme et de multiculturalisme exacerbé.
    Donc, aux prochains scrutins, je vais demeurer peinard chez-moi, à compter mes sous pour payer les médicaments ainsi que les orthèses postopératoires qui ne sont pas couverts par la RAMQ, mais qui me sont nécessaires pour soigner ma rétinopathie –une maladie grave qui m’est récemment tombé dessus quasiment du jour au lendemain (La réforme Rochon et le virage ambulatoire (sic), ça nous vient du temps que le PQ était au pouvoir) .
    Avis aux illusionnés : dans une perspective de progrès social, à notre époque prendre la peine d’aller voter relève des vœux pieux ; tant qu’à déposer des papillotes dans une boîte de carton, autant aller allumer des lampions, le résultat sera le même… un coup de dé, quoi !

  •  

No de billet: 02342-21-40-51-1