jeudi 25 août 2011

Pauline doit partir et démissionner…Immédiatement

Je vous l’avais promis…

En début de semaine, je faisais la prédiction sur mon compte GooglePlus et Twitter que je prévoyais la démission de Pauline Marois à la tete du PQ d’ici la fin octobre.

Aujourd’hui je la réclames…

Les derniers sondages sont dévastateursle PQ d’une manière ou d’une autre est en tres mauvaise posture.

Il est inutile d’épilogué trop longtemps la dessus…Les derniers mois du schisme au PQ est un symptôme de l’éternelle division qu’il y a eu au PQ entre les purs et durs de centre-gauche et les modérés de centre-droit. Je l’invente pas cette situation…j’en témoigne….

En 1997-1998, Lucien Bouchard était à la tête du PQ. J’étais Président d’une association de comté de la région Montréal-Centre. Mes “amis” Christian Gagnon et Mario Beaulieu était aussi président de comté et à la région. Les sujets principaux de nos discussions passionnées entre mes “amis” et moi étaient les mêmes que ceux que tiennent aujourd’hui, les Parizeauistes et les autres excommuniables du PQ.

Mais là…la situation est grave…Il est presque sur que Jean Charest va déclencher des élections pour le début décembre. Même si son 34% des québécois lui assurerait qu’une 20taine de comté…il va prendre sa chance là.

Pauline s’en va à l’abattoir…La souveraineté non..ca ne sera jamais la fin…mais on se tire dans le pied continuellement…le PLQ n’a même pas besoin d’etre mauvais…Les purs et durs s’en charge …

Il y a qu’une chose qui pourrait arrêter les intentions de Charest.

Une démission immédiate de Pauline, le forcerais à attendre qu’il y ait un chef ligitime au PQ…C’est la règle…

Si Pauline est une femme d’honneur, si Pauline a plus à coeur la cause que ses ambitions, si Pauline est une femme qui fait passé les intérets supérieurs de la nation avant les siennes…si Pauline veut absolument bloquer Jean Charest…

Elle doit partir et démissionner immédiatement…

No de Billet: 65522-11-80-52-1

lundi 22 août 2011

Les Québécois ont aimé le québécois Jack Layton et sa candide naiveté d’idéaliste

Voici ce que j'ai écrit sur mon compte GooglePlus https://plus.google.com/115017529120067581063

C'est la journée de Jack Layton.

Redonnons à César ce qui lui appartient.

Jack symbolisait la joie de vivre, le positivisme à son meilleur. Il avait la bouille la plus sympathique de tous les politiciens en fonction. Son idéal...qui devrait être celui de tous...de penser qu'il n'est jamais trop tard pour travailler à faire de notre monde...un monde meilleur...est certainement le plus grand message à saveur universelle qu'il nous laisse.

Le Québec a voté pour lui..et non pas son parti le 2 mai dernier.

Les Québécois ont voté pour sa bouille...rien d'autres...

Québécois de naissance, Jack était un idéaliste. Je ne peux dire s'il était naïf dans sa façon de faire de la politique...Son départ va tout changer. On comprendra d'ici quelques années que sa présence en politique fut plus grand que l'on croit..Son départ représente la fin de la candeur naive et idéaliste en politique...canadienne...

Ce fut son année...l'année où il aura surement vécu...ces plus grandes émotions....Il part en gagnant...il part trop tôt en nous laissant l'image...du battant qu'il était...

Son âme québécoise, ( son grand père Gilbert, fut ministre sous Duplessis, son père Robert a été député du comté de Lachine au Québec et chef de caucus sous Brian Mulroney) a fait de lui...le politicien le plus attachant de tous...

Les québécois ont aimé le québécois Jack Layton et sa candide naiveté idéaliste…

Repose toi ..Merci Jack..

No de billet: 90522-11-80-22-1

vendredi 19 août 2011

Des élections au Québec à l’automne: 10 raisons pour Jean Charest

Il y a un bout que l’inspiration pour un billet sur la politique québécoise était absente. Est ce les grandes chaleurs estivales accablantes, la bière froide pour sa capacité désaltérante..ou en fait un paquet de mauvaises raisons..:))) ou plus simplement des politiciens québécois…d’une évidente insignifiance.

Mais depuis quelques jours…il y a un mouvement qui me laisse croire que Jean Charest va déclencher des élections précipitées à la fin d’octobre prochain. Je dénote plusieurs raisons qui le poussera à faire ca.

  1. Le diable est aux vaches pour le PQ, Pauline Marois et tout le mouvement  souverainiste.
  2. Francois Legault n’est pas prêt à lancer son parti politique
  3. Les résultats du 2 mai dernier aux élections fédérales où contre toute attente Harper est PM et majoritaire
  4. La quasi disparition du Bloc québécois
  5. Le contexte économique dans la zone Euro: Faillite de pays???
  6. Les troubles de toutes sortes au niveau international, particulièrement  en Inde, en Lybie et dans le proche Orient
  7. La prolifération et quasi généralisation à l’échelle mondiale des PM de gouvernements de pays impliqués dans des dossiers de corruptions
  8. Une certitude que ce climat d’incertitude économique et social va être probablement pire l’an prochain et pour combien de temps

En fait, il y a un tas d’autres raisons, aller lire également l’excellente revue de presse du 18 aout de Richard Le Hir qui n’est pas inventé par lui mais par ce qui se véhicule partout dans le monde

Tout ca pour dire que Jean Charest attends probablement 3 choses avant de se décider définitvement:

  • La fin de l’été pour que ses sondages internes se fassent avec une prédictabilité…fiable
  • Des sondages publqiues à répétition qui dénotent une tendance lourde qu’il est dans une remonté
  • Le congres du PLQ à la mi – Octobre

Mais mon petit doigt me dit…que c’est pour fin novembre, début décembre les élections générales au Québec…

Qu’en pensez vous???

No de billet: 28422-11-80-91-1

mercredi 10 août 2011

La prochaine étape: La Souveraineté du Québec????

Je reproduis un excellent papi-el de CyberPresse

 

La voix du Québec s'éteint

 

  • Si la majorité des provinces anglophones se retrouvent... (Photo: Martin Roy, Archives LeDroit)Si la majorité des provinces anglophones se retrouvent sous un gouvernement conservateur, l'isolement des Québécois risque d'être encore plus grand.

PHOTO: MARTIN ROY, ARCHIVES LEDROIT

John Ibbitson
L'auteur est chef du bureau du Globe and Mail sur la colline parlementaire, à Ottawa.

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La réalité de la dernière élection fédérale commence à apparaître clairement et ce qui en ressort n'est pas joyeux?: la voix du Québec à Ottawa est plus faible que jamais. C'est un déclin qui se poursuit depuis plusieurs années et ne semble pas devoir s'arrêter dans un proche avenir.

Si la réponse fédéraliste au séparatisme québécois est d'essayer d'imbriquer le Québec dans la construction fédéraliste, elle ne fonctionne pas.

L'époque où les élites de Toronto, d'Ottawa et de Montréal décidaient du programme national est bel et bien révolue. Et ses funérailles se sont déroulées le 2 mai. C'est l'Ontario et l'Ouest canadien qui détiennent maintenant les rênes du pouvoir. Et le Québec se trouve exclu du pouvoir exécutif.

C'est un très grand changement. Pendant près de 40 ans, de Pierre Trudeau à Paul Martin, tous les premiers ministres élus - si on exclut la brève incursion au pouvoir de Joe Clark - étaient originaires du Québec. Puis, en 1993, les Québécois ont choisi le Bloc pour les représenter à Ottawa. En mai dernier, ils ont répudié les séparatistes et ont adopté les fédéralistes sociaux-démocrates.

Pendant que les Québécois font l'expérience d'un premier parti d'opposition, puis d'un second, leur influence au sein du gouvernement est en déclin constant. Avec seulement cinq députés dans le caucus conservateur, les Québécois y sont pratiquement invisibles.

Mais ce n'est pas qu'une question de politique. La démographie joue également un rôle ici. Étant donné le faible taux de natalité et d'immigration au Québec, la proportion de la population québécoise au pays est en décroissance, passée de 29% en 1961 à 23% aujourd'hui. Cet automne, les conservateurs vont voter une loi qui vise à changer la distribution des sièges aux Communes de manière à donner à l'Ontario, à la Colombie-Britannique et à l'Alberta leur juste part de sièges, ce qui diminuera davantage le poids du Québec au Parlement.

Le programme politique national a lui aussi changé. À cause de la crise de la dette des années 1990, le gouvernement fédéral a délaissé le dossier de la justice sociale, que les Québécois ont à coeur, pour accorder davantage d'importance au conservatisme fiscal. Désormais, les priorités du gouvernement fédéral ne correspondent plus aux priorités du Québec.

De plus, le principe des transferts fiscaux sur le plan horizontal est menacé. L'Ontario est aujourd'hui au deuxième rang des provinces à recevoir de la péréquation. Le premier ministre Dalton McGuinty a, par le passé, considéré l'idée de se débarrasser du système de la péréquation. Les provinces nanties comme l'Alberta et la Colombie-Britannique ne s'en plaindraient sûrement pas. Ces provinces sont des bastions conservateurs.

L'isolement du Québec pourrait devenir encore plus important. Avec les nouvelles lois d'élections à dates fixes, nous savons qu'il y aura au moins cinq élections provinciales cet automne. On prévoit que les différents partis conservateurs vont prendre le pouvoir en Ontario et au Manitoba et le garder en Saskatchewan. Si la majorité des provinces anglophones se retrouvent sous un gouvernement conservateur, l'isolement des Québécois risque d'être encore plus grand.

Maintenant que la province n'a plus beaucoup de poids dans le gouvernement, que la proportion de sa population au sein du Canada décroît, que son économie est en déclin, que les transferts pourraient cesser et que le reste du Canada adopte une vision de droite dans laquelle la plupart des Québécois ne se reconnaissent pas, il devient de plus en plus difficile de défendre l'importance du Canada pour le Québec et celle du Québec pour le Canada.

Alors, la prochaine fois que les Québécois demanderont pourquoi ils font partie de ce pays, que leur répondra le reste du pays?

No de billet: 16422-11-80-01-1

mardi 9 août 2011

Burlington, Vermont plus francophile que le West-Island de Montréal???

Je reproduis un papiel de CyberPresse/Le Soleil de Québec super intéressant. Mon oncle Paul va l’etre moins..lol

Burlington prend le virage francophone

  • La résolution des conseillers des districts 6 et... (Photothèque Le Soleil)

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La résolution des conseillers des districts 6 et 7 de Burlington, au Vermont, vise à encourager l'embauche de travailleurs francophones, à offrir des menus bilingues, à inclure le français sur les enseignes commerciales et à mettre davantage l'accent sur l'enseignement du français.

PHOTOTHÈQUE LE SOLEIL

Frédéric Denoncourt

Frédéric Denoncourt
Le Soleil

(Québec) Burlington passe à la grande séduction. Le conseil municipal de la ville du Vermont a adopté lundi soir à l'unanimité une résolution visant à faire la promotion du français à l'école, dans les restaurants et dans l'affichage. Le but? Attirer encore plus de Québécois.

«L'esprit de la résolution est de reconnaître clairement l'héritage historique francophone de la ville de Burlington. Par cette résolution, nous marquons aussi notre reconnaissance envers le nombre incroyable de Québécois qui aiment notre ville et qui viennent nous visiter. Aujourd'hui, ce que nous disons, c'est que nous devons être encore plus accueillants à votre endroit», indique en entrevue téléphonique le conseiller municipal Paul Decelles, qui a présenté la motion.

Au bout du fil, M. Decelles se dit surpris des résultats du vote, la résolution ayant été adoptée par 13 voix contre aucune. «Je m'attendais à ce qu'un ou deux conseillers s'opposent», mais la neutralité affichée par le maire Bob Kiss aura facilité les choses.

La résolution adoptée, la prochaine étape pour que le français gagne du terrain à Burlington sera de convaincre un ou deux restaurants d'adopter un menu bilingue pour inciter les autres à suivre le bon exemple, continue M. Decelles. «Il suffit d'y aller lentement mais sûrement.»

Le conseiller admet avoir un plan. «Je travaille pour Coca-Cola et je connais 80 % des propriétaires de restaurants en ville! Et je crois que dès que la presse locale va se mettre à parler de la résolution, il pourra y avoir un effet d'entraînement.» «On pourrait aussi songer à rendre bilingues les enseignes municipales qui doivent être remplacées et encourager fortement nos écoles à mettre l'accent sur la culture française, en particulier la langue», enchaîne M. Decelles.

Le conseiller municipal insiste pour dire que la résolution ne comporte que des mesures incitatives. «Il n'y a rien d'obligatoire.»

M. Decelles assure que les cise montrent favorables à cette résolution. «Tous les gens à qui j'en ai parlé ont trouvé que c'était une bonne idée.» «Nous allons fortement encourager autant la Ville que les entrepreneurs et la communauté au sens large à faire une plus grande place au français. Le message qu'on veut envoyer, c'est que Burlington s'efforce de devenir bilingue. En espérant que cela attirera encore plus de Québécois.»

No de Billet:21422-11-80-90-1

mardi 2 août 2011

Un gouvernement du peuple par le peuple via les Réseaux Sociaux serait elle une solution?

Voici une reproduction d’un article du quotidien le Devoir…

Vers une politique internationale sur le Web?

Le cas de l'entreprise canadienne Netsweeper, qui aurait aidé des régimes totalitaires à filtrer le contenu en ligne, fait réagir les chercheurs

La Presse canadienne 2 août 2011 Actualités internationales

La page d’accueil du site Web de Netsweeper. La compagnie offre ses services tant aux gouvernements qu’aux écoles ou aux entreprises.<br /><br />

La page d’accueil du site Web de Netsweeper. La compagnie offre ses services tant aux gouvernements qu’aux écoles ou aux entreprises.

Une compagnie canadienne d'informatique qui aurait aidé des régimes totalitaires à filtrer le contenu disponible en ligne est montrée du doigt, et cette «collaboration» nourrit les demandes formulées à Ottawa afin que le Canada se dote d'une politique internationale dans le cyberespace.
La compagnie Netsweeper, de Guelph, en Ontario, offre ses services à des entreprises de télécommunications au Qatar, aux Émirats arabes unis et au Yémen, selon Open Net Initiative (ONI).
L'ONI est un projet visant à étudier le filtrage d'Internet et les pratiques de surveillance par les États. Ce projet utilise des moyens techniques et un réseau international afin de déterminer l'étendue et la nature des programmes gouvernementaux de filtrage sur l'Internet.
L'ONI est née de la collaboration du Berkman Center for Internet & Society de l'Université Harvard, de l'Advanced Network Research Group de l'Université de Cambridge et du Citizen Lab de l'Université de Toronto.
Selon une recherche menée par l'ONI, la compagnie Netsweeper aurait permis de bloquer au Qatar, aux Émirats arabes unis et au Yémen des sites reliés à l'homosexualité, à l'éducation sexuelle, aux défenseurs des droits de la personne, de même que l'accès à certains journaux et blogues, ou encore à des sites permettant aux utilisateurs de naviguer de façon anonyme. Et elle ne serait pas la seule entreprise à le faire.
Selon le directeur du Citizen Lab de l'Université de Toronto, Ronald Deibert, Netsweeper n'est qu'une des nombreuses compagnies nord-américaines embauchées par des régimes totalitaires. Des firmes comme Websense et McAfee SmartFilter ont aussi oeuvré au Moyen-Orient et en Afrique du Nord.
«Ce n'est pas un marché très propre», soutient le professeur Deibert, en entrevue avec La Presse canadienne. «Mais c'est un marché très lucratif, quoique peu populaire en termes d'image.»
La compagnie Netsweeper a refusé la demande d'entrevue de La Presse canadienne. Elle avait déjà indiqué dans le passé qu'elle ne commenterait pas ce débat.
Liberté d'expression

Sur son site Internet, la compagnie offre ses services tant aux gouvernements qu'aux écoles ou aux entreprises. «Une tendance récente fait en sorte que les différentes instances gouvernementales veulent contrôler davantage l'information disponible dans leur pays et qui circule sur Internet», explique la compagnie dans une note diffusée en ligne.
Le site précise également que Netsweeper peut aider les gouvernements à renforcer la sécurité de leur environnement Internet et à leur donner une image positive.
Mais Netsweeper a été critiquée par des groupes de vigilance pour les services qu'elle offre. Ces groupes allèguent que son action réprime la liberté d'expression en ligne.
Jacob Appelbaum, un réputé pirate informatique et chercheur américain, a pris la compagnie Netsweeper à partie lors d'une récente visite à Montréal, l'accusant d'aider le Qatar à censurer l'information sur le Web. M. Appelbaum est l'un des coordonnateurs du projet Tor, dont le but est de déterminer le type de surveillance et de restrictions qu'exercent les États à travers le monde.
«Certaines pratiques sont douteuses, a déclaré M. Appelbaum lors d'un congrès sur le piratage informatique tenu à Montréal plus tôt ce mois-ci. La compagnie vend des dispositifs qui nuisent directement à la population en limitant son accès à de l'information.»
Et le Qatar n'est pas le pire exemple, estime M. Appelbaum. Au fil de sa présentation, il a fourni de nombreux exemples de cybersurveillance et de censure dans des pays comme l'Iran, le Liban, la Chine, Bahreïn et la Syrie. La situation dans ce dernier pays, a-t-il souligné, est particulièrement terrifiante.
M. Appelbaum s'est dit hésitant quant à l'idée de discuter des procédures en vigueur en Syrie, craignant que sa sécurité personnelle s'en trouve compromise. «En allant sur certains sites, on reçoit la visite de la police secrète», a-t-il soutenu.
Pour une politique claire
Ronald Deibert, de l'Université de Toronto, prépare, de concert avec l'ONI, un rapport plus détaillé à propos du filtrage de contenu qu'exerce Netsweeper. Il estime que les activités de cette compagnie ne sont qu'une raison de plus pour que le gouvernement canadien se dote d'une politique internationale claire à propos du cyberespace.
Il a suggéré la méthode suivante: s'inspirer d'un accord international majeur conclu au XXe siècle et l'adapter au contexte du XXIe siècle. Selon lui, le Canada pourrait ainsi adopter des lois rendant illégal pour une compagnie canadienne de filtrer du contenu Web dans des pays où les principes de la Déclaration universelle des droits de l'Homme de l'ONU ne sont pas respectés. Mais cette méthode pourrait être coûteuse, étant donné les revenus que touchent les compagnies canadiennes sur le marché étranger.
La compagnie Research in Motion (RIM), par exemple, a déjà subi les pressions de gouvernements étrangers. Plus tôt cette année, l'entreprise de Waterloo, en Ontario, a accepté de bloquer l'accès à des sites de pornographie en Indonésie après que ce pays eut menacé de lui retirer son permis d'exploitation.
Les services fournis par RIM ont bien failli être mis au ban en Arabie saoudite et aux Émirats arabes unis, qui demandaient d'avoir accès aux communications établies grâce aux téléphones BlackBerry, que fabrique RIM.
Selon M. Deibert, le Canada devrait prendre position de manière claire en matière de filtrage de contenu. Le directeur du Citizen Lab croit que le gouvernement canadien devrait, à tout le moins, éviter d'aider les compagnies comme Netsweeper.
Netsweeper a déjà obtenu du financement du Conseil national de recherches du Canada.


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  • Volney
    Inscrit

    mardi 2 août 2011 02h23

    Syrie

    J'ai récemment discuté avec des étudiants Syriens qui me racontaient que ce sont les médias occidentaux qui déforment l'information à propos des répressions de l'armé Syrienne, affirmant que les interventions meurtrières étaient tout à fait justifiées selon leurs dires leurs proches vivant encore en Syrie.
    Ces histoires me donnent vraiment froid dans le dos...
    C'est en prenant conscience des dérives totalitaires qui semblent issues de la fiction d'Orwell, mais pourtant bien réelles et actuelles, qu'on réalise à quel point il est crucial de protéger la liberté d'expression et la protection de la vie privé tout en supportant les médias indépendants.

  • Jean de Cuir
    Abonné

    mardi 2 août 2011 07h26

    Qui est pur?

    Qui décide de quoi? Les messieurs et dames de Netsweeper se "fout"de cette question. J`ai visité ce site. Élémentaire, pas de réflexion philosophique! On ne sait ce qu`est la connaissance. Invitation à une instance dite morale internationale de juger du bien. La circulation libre des connaissances est une invitation à promouvoir la connaissance et aussi la réflexion dans la mesure de l`éducation de tous. Ce travail s`opère lentement au milieu de tant et tant de faiblesses toutes humaines et partagées. Strictement parlant, il n`y a pas de juge transcendantal de ce qui est juste et bon. Ce n`est surtout pas dans une dictature --contrôler par la violence -- que la connaissance peut progresser. Le pouvoir de dicter le vrai et le pur n`existe que par la négociation entre les personnes. Oeuvre de toute l`histoire humaine!

no de billet: 56122-11-80-20-1