mardi 18 décembre 2007

Le marketing politique, Oui ca existe au Québec

Malheureusement, je crois chère blogueuse ...que tu te trompes.

S'il y a un sujet que je connais bien c'est bien la gestion des perceptions. La gestion de l'image projetée.

Or comme tu sais, en politique, tout ou presque est une question de perception, d’image et le marketing politique en fait usage à satiété.

Le marketing d’affaire est basé principalement sur la segmentation de marché.

En politique c’est quasiment la même chose.

Et c’est là que les sondages prennent tous leurs sens.

Quels sont les segments principaux ?

  1. Les convaincus (souverainistes ou fédéralistes) + ou – 30% de la population qui ne changeront pas d’avis peu importe ce que tu va leur servir comme faits.
  2. Je ne mets pas dans le paquet les autonomistes… ils n’existent pas pour moi. Ce sont en fait des brebis qui se sont égarées ( fédéralistes ou souverainistes) momentanément le 26 mars dernier. Mais je les évalue à 20% de la population.
  3. Donc il reste donc les indécis et c’est eux la principale cible des communications orientés vers le marketing politique.

En plus, dans tous ces segments de marchés, on peux considérer d’autres subdivisions de personnes « flexibles « dans leurs opinions politiques : exemple

Les fédéralistes fatigués

Les fédéralistes nationalistes mous

Les fédéralistes naïfs

Les souverainistes qui ne sortent jamais voté

Les souverainistes mous

Les gauchistes

Les droitistes

Donc comme tu vois, ce genre de marketing peux fonctionner n’importe ou.

Aux USA, c’est pire dans la mesure que la religion entre dans les techniques de communications manipulatrices… C’en est même affreux

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