Les analyse préliminaires ( voir ici, là et encore ici ou encore là) des résultats des élections municipales dans les 2 plus grandes villes du Québec laissent entrevoir rien de bon pour la suite des choses, et ce à plusieurs point de vue.
Quelques conclusions factuelles basées sur ces analyses:
- Il n’y aura pas d’enquête publique sur la corruption dans la politique nationale, régionale et municipale;
- Le blocage systématique de Jean Charest pour cette commission est extrêmement suspecte;.
- L’argent a fait un différence majeur dans ces élections;
- Le vote ethnique a permis la ré-élection de Tremblay et Vaillancourt;
- Ils seront ré-élu tant qu’ils le voudront bien;
- Donc Montréal et Laval sont à jamais des villes corrompus, puisqu’aucune action politique concrète pour enrayer cette pandémie de corruption ne verra le jour;
- Les vases communiquant des électeurs ethniques-francophobes et souverainiste-ophobes tendent à démontrer que le camp fédéraliste contrôle l’agenda politique, national, régional et municipal.
- Le projet Souverainiste est pratiquement bloqué par cette polarisation, sans saine et équitable répartition des votes ethniques allophones et anglophones.
Je pourrais continuer longtemps cette nomenclature de raisons qui me pousse à être pessimiste quand à la suite des choses pour la Souveraineté.
Le seul moyen, mettre dehors Jean Charest. Toutefois, à moins que de nouvelles révélations chocs publiques, inattendues, viennent toucher l’armure blindé que porte le PM, on en a encore pour au moins 3 ans de ce régime corrompu.
Malheureusement rien ne garantie, rien n’indique que l’opposition péquiste, divisée à Montréal, au leadership endormant ( où est Mme Marois???) pourra renverser cette tendance lourde.
Pas de doute, tant qu’à moi. On a une crise de leadership dans le clan Souverainiste.
no de billet: 73111-90-11-30-1
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