vendredi 17 août 2007

C'est repartit, pour Gesca, l'ennemi no.1: Mario Dumont

Il est toujours prétentieux, pédant et parfois condescendant de penser qu'on a toujours raison, de penser que c'est nous qui à la recette du bonheur, eh bien Gesca , par l'entremise d'un de ces mercenaires, à son emploi, en fait une preuve patente ce matin. (voir article ici )

En plus d'essayer de ridiculiser, de démoniser Mario Dumont, il essaye par ricochet d'attaquer la nouvelle chef du PQ. Il est à tout le moins bizarre et suspicieux que le nom de Jean Charest n'apparraisse pas dans son papier.

Mais la question qui va avec ça c'est : Pourquoi, pourquoi là, et quel est le but recherché?

Ma réponse, Gesca est la courroie médiatique de Power Corporation qui contrôle, entre autres, le PLQ et Jean Charest.

La poussée de l'ADQ, le 26 mars dernier semble faire peur à Gesca qui voit poindre l'antichambre de la souveraineté du Québec en l'ADQ et Mario Dumont. Si Dumont prends le pouvoir au Québec et mets le couteau sur la gorge du fédéral et que ça fonctionne pas, que restera t il aux québécois à faire, eh oui, la souveraineté.

Dans son article Vincent Marissal minimise le problème des accommodements raisonnables, je le cite:

" Faut croire que quand on n'a pas de vrais problèmes, comme c'est le cas au Québec, on gonfle artificiellement quelques anecdotes de fenêtres givrées ou de voiles au soccer pour en faire des crises nationales.

C'est la thèse de cette chronique: il n'y a pas de réel problème d'immigration, d'intolérance ou de cohabitation ici. Il n'y a que des incidents anecdotiques isolés montés en épingle par les médias et savamment récupérés par un politicien opportuniste aussi habile à lire les sondages qu'inepte à pondre des politiques d'ensemble cohérentes."

mais si on conjuguait ce passage avec le thème de la souveraineté , il pourrait se lire comme suit:

" Faut croire que quand on n'a pas de vrais problèmes, comme c'est le cas au Canada, on gonfle artificiellement quelques anecdotes sur les pseudo problèmes avec la séparation du Québec pour en faire des crises nationales.

C'est la thèse de cette chronique: il n'y a pas de réel problème avec la souveraineté du Québec. Il n'y a que des incidents anecdotiques isolés montés en épingle par Gesca et ses médias fédéralistes, collaborant et convergeant avec Radio - Canada, savamment récupérés par un politicien opportuniste aussi habile à lire les sondages qu'inepte à pondre des politiques d'ensemble cohérentes qu'est Jean Charest et le PLQ."


Pas de doute, c'est repartit, pour Gesca, l'ennemi no.1, c'est Mario Dumont.

Le but, que le PLQ garde le pouvoir et de s'éloigner le plus loin possible de la souveraineté.

C'est ça aussi qu'on appelle la désinformation, la manipulation de l'opinion publique, le terrorisme psychologique des grands groupes médiatiques...Dégueulasse

4 commentaires:

Unknown a dit...

Par lepointilleux.. sur espacecanoe

Quoi dire de plus?
J'ai annulé mon abonnement au journaux, car sur un sujet donné, on peut prévoir les grandes lignes du message de l'un ou de l'autre.
En plus internet nous inonde de nouvelles, d'opinions, de renseignements et le reste, en quantité telle qu'une vie ne serait pas suffisante pour y lire ce qui y apparait de nouveau à chaque jour.
Pour ceux qui croient que la démocratie a éliminé la propagande vicieuse et sournoise de ceux qui possèdent le pouvoir ou de ceux qui veulent le prendre ou le reprendre, pour des raisons exclusivement d'affaire, sont biens naïfs !
Mais en reste-t-il encore à croire en cette illusion?

Unknown a dit...

@ lepointilleux

Merci pour ton commentaire... Pour une fois qu'on est d'accord...lol.. sans rancune..clin d'oeil

Anonyme a dit...

Vous ne seriez pas un tantinet parano ?

Unknown a dit...

@ houssein

si je suis pasrano, vincent Marissal est un jovialiste aveugle et d'une tolérance suspecte... mais que dire de plus des mercenaires du fédéralisme